Publié par : iferhounene | 2 juillet 2012

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Aimer à mourir, aimer à loisir, au pays qui te ressemble.hilary_clinton_toilet_paper_2clipquez ici pour voir plus : http://www.iferhounen.blogs.nouvelobs.com

Tu n’as plus besoin d’être une autre pour que….

Ce qui d’abord en toi m’avait séduit n’existe pas

Mais le mirage détruit, l’amour s’attache

A force de t’avoir aimée pour ce que tu n’étais pas

j’ai appris à te chérir pour ce que tu es

tu n’as plus besoin d’être une autre pour que je t’aime

Publié par : iferhounene | 11 juin 2012

Guerre d’Algerie : le 6°BCA au coeur des combats en Kabylie

Guerre d’Algerie : la mort de l’adjudant Arpin en Kabylie

C’est le 20 novembre 1960 que l’adjudant Arpin, l’homme que l’on qualifia d’icone de la lutte « anti-terroriste » tomba foudroyé d’une balle dans la téte, par le commando de choc dit commando du Djurdjura,  dans la région de Abi Youcef (Ath Vou Youcef) non loin de Tachekirt où la vélléda Lalla Fatma N Soumer en 1854-1857 a livré une rude bataille contre les forces du Maréchal Randon, le général Mac Mahon , le général Yusuf, qu’il a été mortellement touché.

C’est également auparavant , soit le 5 octobre 1960, au méme endroit que le chasseur alpin du commando  partisan 11 dirigé par le méme Arpin que Murzilli Raymond sera blessé à la téte.Une blessure qui lui valera une infirmité à vie. Murzilli 6°bca ait hichem.JPGmurzilli citation.JPGces informations sont également insérées en detail dans l’ouvrage en cours d’édition  consacré à l’histoire du 6°BCA en Kabylie  de 1956 à 1960

 

arpin1.JPGarpin2.JPGarpin3.JPG

Publié par : iferhounene | 29 avril 2012

ANSEJ, CNAC, et autres projets

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Publié par : iferhounene | 27 avril 2012

Iferhounene : appel à voter FFS

Le meeting du FFS à Iferhounene.Image

   Dans un meeting populaire, organisé par les sections locales de la daïra d’Iferhounene, les candidats à la députation (Nabila Adjlout, Ali Sadok et Moussa Tamadartaza) se sont exprimés sur les enjeux électoraux du prochain scrutin. Prenant la parole la première, Nabila Adjlout exprime sa fierté d’appartenir, en tant que femme, à la famille politique du FFS. Bien que son intervention soit riche et argumentée, elle considère objectivement que la participation du FFS aux élections législatives est avant tout une participation tactique.

 D’une façon générale, la quatrième sur la liste du FFS de Tizi Ouzou explique que l’urgence, en ce moment, est d’ « éviter qu’une explosion sociale n’explose dans un pays riche ». Ainsi, loin de développer un discours stérile, selon la candidate du FFS, le parti œuvre pour que les jeunes puissent croire à un avenir meilleur.

 Quant à Ali Sadok, le combat du FFS consiste à renverser des équilibres favorisés par le statu quo. En effet, bien que le parti privilégie un changement pacifique, il n’en reste pas moins que la mission du FFS est de faire barrage à la dictature.

Cependant, Ali Sadok rappelle, avec précision, les consultations auxquelles le FFS avait pris part. « À chaque fois que le pays a traversé une crise menaçant la cohésion nationale, le FFS a participé afin que l’Algérie ne s’effondre pas », dit-il. En effet, après s’être sorti de la clandestinité, le FFS a participé, pour la première fois, au scrutin législatif de décembre 1991. Bien qu’il ait préconisé un mode de scrutin à la proportionnelle, le régime a opté pour un autre mode. Néanmoins, quand le régime a décidé d’arrêter les élections sous prétexte que la démocratie a été menacée [ne fut-elle pas menacée d’abord par les gens qui voulaient la sauver ?], le FFS s’y est tout bonnement opposé.

Quoi qu’il en soit, bien que le FFS ne soit pas responsable de la crise, il fut le premier à proposer un contrat national en vue de réaliser la paix en Algérie. Ses propositions sont contenues dans le contrat de Sant Egidio que le régime a rejeté dans le fond et dans la forme. Rien n’empêche, ce même régime est allé chercher, deux ans plus tard, des « terroristes » avec qui négocier, au lieu de se mettre autour d’une table avec les partenaires politiques. Toutefois, à deux reprises, en 1997 et 1999, le régime a fait miroiter la promesse de la tenue des élections libres. À chaque fois, le régime n’a pas tenu sa promesse.

 Cependant, clôturant les interventions, le docteur Moussa Tamadartaza brosse un tableau général de la situation du pays. Il revient point par point sur les raisons qui ont amené le FFS à participer aux élections législatives de mai prochain. Pour rassurer l’assistance, Tamadartaza explique que le FFS a les moyens de sa politique. « Le FFS est un grand parti dirigé par un grand monsieur, Hocine Ait Ahmed », dit-il.

 D’emblée, le septième sur la liste du FFS annonce que l’objectif primordial du FFS est « la conscientisation de la société ». Ce travail fut et est une constante chez le FFS. D’ailleurs, existe-t-il un moment douloureux dans l’histoire du pays où le FFS n’était pas présent, s’interroge-t-il. Bien évidemment, la réponse est non, affirme-t-il.

 De toute évidence, la victoire du FFS est de parvenir à enclencher un large débat sur l’avenir de l’Algérie. Malheureusement, ce débat a toujours été refusé par le pouvoir. Il rappelle alors les initiatives entreprises par le FFS depuis l’arrêt du processus électoral en 1992. « En 1992, le FFS a demandé qu’on dialogue avec les politiques du FIS. Le régime a refusé. Résultat des courses : 200000 Algériens sont morts dans cette tragédie nationale », corrobore-t-il la stratégie de dialogue du FFS.

 Cela dit, bien que le FFS n’ait, aujourd’hui, aucun sentiment de culpabilité, il n’en reste pas moins que le parti a œuvré pour que la politique soit exercée autrement que par la violence. Cependant, vingt ans après l’arrêt du processus démocratique, les Algériens ont perdu toute confiance. Et le rôle du FFS est justement tirer la sonnette d’alarme. Car la conséquence du discrédit de la chose politique a conduit à « la démobilisation de la conscience citoyenne ». Au jour d’aujourd’hui, des Algériens ne se reconnaissent plus dans les fondements de la nation, déplore-t-il.

 Tout compte fait, il parait aller de soi que l’absence de la démocratie en Algérie est un fait indéniable. On ne noircit pas le tableau en disant cela. Toutefois, notre devoir est de dire la vérité et ce, bien qu’elle soit amère, ajoute-t-il. En tout cas, les différents verrouillages ont incité le FFS à boycotter, depuis 10 ans, toutes les échéances nationales. Évidemment, le parti s’est toujours exprimé sur les raisons politiques de son choix.

 Cette fois-ci, le FFS défend avec abnégation le choix politique de sa participation. À travers celle-ci, le parti va tenter de discréditer le système qui recourt sans vergogne à la violence. Pour ce faire, « on va mener une campagne offensive », dit-il.

 Cependant, revenant sur les on-dit selon lesquels le FFS a négocié sa participation, le docteur Tamadartaza affirme que le parti n’a pas eu besoin de recourir à ce marchandage. « Notre garantie, c’est le peuple », argue-t-il. Il rassure l’assistance qu’Ait Ahmed, natif de cette région, ne peut pas trahir, car cette région est connue pour sa résistance à toutes les injustices.

 En tout état de cause, la campagne psychologique menée contre le FFS est digne des pratiques coloniales. D’ailleurs, pour aller à Hassi Messaoud, l’Algérien doit avoir un laissez-passer, étaie-t-il sa thèse. En tout cas, face à ces pratiques, le FFS fera tout pour décoloniser le peuple. D’ailleurs, le slogan du FFS n’est-il pas : « Crédibilité et solidarité ».

 Enfin, pour le docteur Tamadartaza, le vote du 10 mai doit être un vote sanction. Notre message est clair: sanctionner ce régime sourd aux souffrances des Algériens. Toutefois, bien que le FFS ne prétende pas être majoritaire, il va mener inlassablement le combat pour un État juste. « Il faut arriver à un État décentralisé », ajoute-t-il. Pour clore son intervention, le docteur Tamadartaza émet un souhait : « L’Algérie doit avoir des institutions fortes qui survivront aux hommes ».  

Par Ait Benali Boubekeur.

l’année 2012 : année du grand changement en France et dans le monde arabe la France aux mains des socialistes. C’est la meilleure chose qui puisse arriver d’abord aux français , et par voie de ricochet aux désormais ex-« possessions » françaises. Sarkozy , dont l’esprit a stagné en 1830, reproduit le système inique colonialiste par ignorance. D’abord ignorance de l’histoire , ensuite de l’évolution de l’humanité. faudrait-il apprendre au désormais ex président français, que le monde évolue, la vie évolue, et que tout est en perpétuel devenir? en revenant au tri  » racial » ,Sarkozy commet un crime, celui de ne pas se connaître. ne pas se connaître induit des actes dangereux, racistes, nazi méme . Sarkozy, Roumain d’origine, n’accepte pas que des non français algériens, marocains, tunisiens soient convertis à la nationalité française. cette façon de voir les choses est dangereuse. la France change et le monde avec…y compris les arabes. que dis-je? y compris les « indigènes ». la France est une puissance atomique qui s’est construite sur le dos des nord africains. pendant que les colonialistes français tuaient du  » bougnouls » ces mémes bougnouls combattaient aux cotés des français FSE, contre un ennemi de l’humanité » Hitler » la France a durant 132 ans extirpé les trésors du sous sol algérien, des muscles des algériens, pour construire sa premiere bombe atomique qui fera de la France une puissance immunisée contre les sanctions onusiennes. Aujourd’hui, les algériens réclament leur dù. pas seulement les harkis qui ont éte leurrés, séduits, trompés et marginalisés réclament une partie de la patrie secondaire qui les rejettent. Si aujourd’hui, les algériens s’impliquent dans la politique française, participe au choix de son président, c’est parce que la France s’est construite sur le dos de l’Algerie. l’Algerie a sa part comme elle a son mot à dire sur la richesse et le développement économique de la France. Algériens, français! soutenez l’homme de la paix, l’homme de la compréhension, de la fraternité : Hollande. tous ensemble, français, algériens , fixons-nous un but sacré, celui de battre Sarkozy pour le « dégager » dans les poubelles de l’histoire! Sarkozy reveillant les démons des harkis, doit laisser la place aux algero-français. la France sans l’Algerie n’est rien et l’Algerie sans la France est insignifiante! le sang des martyrs algériens et français nous appelle pour battre les revanchards et assoiffés de pillage, de tortures et de viols! nous voulons une France saine, honnéte, fraternelle et non une France de violeurs, de harkis et de néocolonialistes. le changement en France est aussi le changement en Algerie! il ne peut y avoir de paix sans la compréhension,l’entraide et l’intelligence. C’est ainsi que se construire le havre de paix méditerranéen!

Publié par : iferhounene | 15 avril 2012

Sarkozy , le khadafi franco-maghrébin

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Camp de la 2°compagnie du 6°BCA-IFERHOUNENE 1956

Tous ensemble, frais , et nord africains, mettons fin aux idées ultra, aux idées néocolonialistes, à la philosophie réactionnaire de cet homme qui soutient le colonialisme français en Algérie et pénalise le génocide turc en Arménie. Tous ensemble nous mettrons en échec , les visées diaboliques de cet homme qui croit que la France et responsable de l’abandon des harkis , au lieu de la responsabilité de la France dans le phénomène du harka. Sarkozy veut faire ignorer aux hommes bien pensants que c’est le colonialisme qui a été à l’origine de la révolte de la majorité de la population indigène et à la soumission d’une partie de cette population par peur , par faim, par lâcheté ou par convenance naïve. Sarkozy doit être  » dégagé » comme l’a été Khadafi, ou Moubarak, ou encore Benali , ou encore Assad. La France doit , historiquement, avoir son printemps franco-maghrébin Nous sommes tous des franco-maghrébins , historiquement , culturellement , et linguistiquement, nous exigeons le départ de cet homme démocratiquement, sans même l’usage du « karcher »

Publié par : iferhounene | 9 avril 2012

Séduisante Kabylie qui dépérit

Publié par : iferhounene | 8 avril 2012

Iferhounene: le voyage à travers les siécles

Escapade en Kabylie.
Le 6 avril 2012
Mon escapade fugace en Kabylie a commencé par un inextricable embouteillage au niveau d’Alger. Le compte à rebours de mon aventure ne veut pas commencer. Chronomètre bloqué par les services de sécurité qui dirigent la circulation automobile. Ou bien est ce l’insuffisance draconienne des infrastructures routières, malgré l’intervention musclée des chinois, des allemands, japonais, algériens mêmes pour enfin désengorger le nord de l’Algérie de ces bouchons casse têtes interminables, stressants et improductifs à tous points de vue. Ghoul se fait déjà vieux, retraitable anticipé et l’embouteillage est toujours là ?
Une idée a ressurgi de ma tête : il parait, selon un de mes amis, que des agents de l’ordre chargés de la circulation pariaient sur le plus long embouteillage. En effet, selon toujours mon même ami, deux agents de police se sont défiés à qui sera en mesure de provoquer le plus grand embouteillage d’Algérie.
Ils discutaient entre eux le « comment opérer » pour un exploit insolite mais le plus stressant pour l’automobiliste et le voyageur algérien: jugez-en vous mêmes chers électeurs du 10 mai 2012 :
« Ecoutes cher collègue ce que je vais te dire: j’ai réussi un jour à provoquer un embouteillage qui s’étalait de Thénia jusqu’à Boudouaou » dit l’un d’eux à l’autre qui n’a pas paru étonné outre mesure par cet exploit inédit mais pour lui de moindre envergure. En somme, des pipis de chat.
Et le deuxième flic de répliquer orgueilleusement en bombant le torse:
 » Et bien cher ami, t’es encore un bleu dans le métier! Et si je te disais que mon exploit dépasse de très loin le tiens? Un jour j’ai réussi à aligner des véhicules de toutes sortes ; les uns après les autres pare choc contre pare choc, de Boudouaou à Tizi-ouzou » ça te va comme ça?! »
C’est dire qu’en Algérie, les embouteillages sont devenus un jeu d’enfant, une occupation, un moyen de se payer un Guinness personnel, sans pub, ni popularité. Faut pas s’étonner un jour, en effet, si l’on affichait dans le canard enchainé, Nouvel Observateur ou Figaro ou encore un autre baveux de grande réputation  » le plus long embouteillage du monde, c’est en Algérie! »
Revenons à notre escapade, si l’on peut appeler ainsi cette fuite dans la nature.
Je file sur Tizi Ouzou, en prenant le volant de ma voiture à 10 heures du mat. A Si Mustapha, bourg où résidait dans le temps de la 8° promotion des diplômés DPGE de l’IMPED, mon ami Bouafed, un génie en finance de l’entreprise, je fis une halte pour me farcir un sandwich à l’entrecôte aux frites assaisonnées d’un soupçon de piment légèrement piquant. Ajoutez tout de même à cela l’accueil agréable du jeune serveur cuisinier.
Cap sur Tizi Ouzou.
A Tizi le brouillard était déjà là avant moi. Avec l’arrivée de ce barrage de taksebt, il y a toujours cette casquette humide qui couvre les Ait irathen – jadis Fort Napoléon.
A Mekla le brouillard se fait de plus en plus épais et Igouffaf, il était déjà si épais à couper au couteau. Résultat, je ne vois plus rien, visibilité quasi nulle, vous voyez ce que je veux dire à défaut de voir la trace du bitume qui tapisse la chaussée, je dus prendre une piste goudronnée qui ceint un mamelon comme une écharpe berbère, et je faisais la ronde sans me rendre compte pendant une bonne demi-heure. Demi-tour après une longue chevauchée, pour reprendre le bon chemin. Ah! Un instant ! sur une plaque de signalisation je lis « Ain El Hammam » je fonce en prenant rapidement de l’altitude comme si j’étais un pilote d’n Boeing 737 mettant pleins gaz, car ici comme à Larba , tous les chemins sont des chemins qui montent.
Ait Mellal plongé dans un épais nuage, le cimetière invisible, et Ait Ouahdouche, village qui vous fait face sur l’autre versant du mamelon de Timezguida, a disparu sous une écume blanche, savonneuse. les chasseurs alpins avaient immortalisé cette image d’un village ancien par une photo aux couleurs nuancées de la France comme pour nous laisser comprendre et faire croire à nos enfants comme à Iferhounene , nous sommes dans un village de France.
Fonçant toujours plus loin au cœur des quinquégentiens, je suis au sein des Ait Yetsoura, Iferhounene , ce village perché sur un éperon, qui a vu les troupes des généraux Randon, Jusuf et colonels Renault, Bataille déferler le 9 juillet 1857 où ils perdirent un des leurs avant de bivouaquer à Timezguida, juste le temps qu’elles pouvaient pour que guerriers de Lalla Fatma N’Soumer s’en chargent pour les déloger avec une férocité indescriptible. Le docteur Bertherand ne s’est pas empêché, même si sa fonction de chirurgien de la campagne de Kabylie 1855 et 1957 et 1858 ne l’y obligeait point, de relever la présence d’une femme dans les troupes igawawen, qui dit-il, appelait à vaincre l’ennemi d’une voix aigue, strident même, et vibrante en même temps.
Voilà pour l’histoire du 19°siècle, qui se répète en 1956 avec l’arrivée de la 2°Compagnie du 6°bataillon de chasseurs alpins dans ce village tranquille, pour « tuer tous les adultes jusqu’à l’âge de 15 ans et n’épargnant que les chiens qui rampent à vos pieds ».
Nous sommes à Iferhounene le 6 avril 2012 à 15 heures 30 minutes. Ce monde silencieux, muet j’allais dire, porte sur ses épaules toutes les misères du monde. Au cœur de la Kabylie où les enfants de moins de 15 ans se sont déjà résolus, précocement à mettre fin à leurs jours, las, désabusés par la vie stérile que minent leurs géniteurs, inconsciemment. Un geste trop adulte pour ne pas déranger la conscience des adultes. L’Etat algérien se porte bien. Les élections s’annoncent à petits pas mais sûrement. Les tractations de nuit, les complots, les ventes aux enchères publiques de voix d’électeurs, les européens, les américains, les arabes participent, qui de loin qui de près à cette foire, à ce festival, mais moi je ne suis pas sorti de l’auberge. J’écris, et je recours à l’ex colonisateur pour faire connaître mes mémoires. En attendant Khalida n’est pas trop attirée par mes histoires d’orphelin de guerre. Elle préfère, les poèmes pleins de rêves factices, les gravures délavées par le temps, les seins en l’air de nos africaines vivant la nature nue. Qui vous a dit que les américains, les canadiens, les English ou danois sont plus libertin que les africains? La liberté appartient aux gens de la nature, de la campagne, de la brousse, des forets vierges. Qui vous a dit que l’homme descend du singe? Erreur. Car l’homme a été de tous les temps un nudiste et c’est Adam qui a le premier revêtu son premier linge de la nature, une feuille d’arbres.
Les élections sont proches. Les islamistes avancent, les donquichottes donnent des leçons. Louiza Hannoune critique les partis qui viennent de naître. N’est ce pas là une fuite en avant. Comment peut-on juger un programme d’un parti qui vient juste d’avoir son agrément?!Faut être une Louiza Hannoune pour réussir cette prouesse.
Ahmed Ouyahia, a peur de la division du pays. Mhenni Ferhat constitue-t-il un danger pour l’unité nationale? Un certain nationaliste extrémiste, en tous les cas l’assimile à un harki, voire même à un sioniste. Voila une façon sure de provoquer la division du pays que cette condamnation sans appel de ce baveux électronique contre un fils de chahid. Oui, en effet Mehenni Ferhat est avant tout un fils de chahid. Un fils de chahid désabusé, marginalisé. Que demande le MAK? L’autonomie? C’est quoi l’autonomie dans un état fédéral? Est ce possible chez nous? Les langues arabes et berbères, ainsi que la française, sont elles un facteur de division. Le Canada, c’est quoi? Le Québec c’est quoi? que Dit Loraine Lagacé dans ses deux ouvrages  » Manoir Vert » et « Stratège »?
Mais le Canada n’est pas l’Algérie et l’Amérique n’est ni l’Europe, encore moins la France ou le monde arabe.
Cette Kabylie qui est devenue pour moi un problème. Faut-il la quitter pour de bon ou bien l’épouser à vie? Culturellement soit dit. Charnellement j’en descends et porte en moi les gènes positifs et négatifs, tares et qualités, misères et joies, amours et déception. Ma Kabylie! Ce territoire qui n’est en pas un, mais une idée, une lumière, une chaleur qui réchauffe mon cœur et mon esprit. Le cœur d’un réacteur atomique. J’ai peur de l’explosion. Rassure-toi Abdenour, la Kabylie était là, depuis la nuit des temps, elle est toujours là en 2012 et continuera d’être au de la des horizons futures.
Des guerres, des morts, des occupations de siècles durant: la Kabylie est toujours là, comme l’œil qui regardait Caïn, la conscience éternelle de l’éternelle histoire de l’humanité.
Retour sur Alger, vers 17 heures, le brouillard épais était toujours là, comme pour attendre mon retour sur la capitale. Impossible de prendre une photo avec mon appareil numérique par ce temps de chien. Je veux immortaliser mes escapades furtives, silencieuses, dans cette kabyle tranquille sereine, souriante, muette poétique par des images en couleur qui traverseront les cinq continents. Des âmes poétiques, amoureuses de belles choses, de la nature, des montagnes sublimes diront que cet homme voit ce que nous voyons, nous êtres sensibles, bien pensants, non violents, et humanistes. Cet homme est comme nous tous, qui détestons les conflits d’intérêts, les guerres coloniales, les colonisations de peuplement pour l’exploitation de richesses naturelles que Dieu a mis, sciemment, entre les mains d’indigènes, de sauvages; de peuples arriérés.
La Kabylie envahi par l’homme matériel, l’homme du jeu, l’homme du lucre et de l’épicurisme. Les bouteilles de bière les canettes, jonchent les bords des routes montagneuses. Le barrage de taksebt couronné par ces diverses bouteilles qui scintillent aux premiers rayons de soleil. Mais la prostitution ronge la Kabylie! Aussi. Le kidnapping, la drogue sont de venus le lot quotidien de cette douce suisse algérienne? Non! Ceux qui s’y adonnent allégrement sont venus d’ailleurs. J’ai vu moi même des bouteilles de bière surgir d’une fenêtre d’un véhicule immatriculé d’ailleurs que de cette région amazigh! La pollution, la drogue, le kidnapping, ne sont pas l’œuvre de nos montagnards! Ils en sont informés en même temps que tout citoyen algérien par voie de presse et internet. Le kabyle de la montagne n’est ni un drogué, ni un proxénète, ni un bandit, ni un ivrogne! Il subit cette dégradation impassible, impuissant, devant le seuil de sa maison. Son Nif est offensé. Il ne peut rien y faire car l’Etat dit-on est quelque peu responsable !

Kabylie : escapade fugitive du 6 avril 2012

je fuis Alger et ses embouteillage, en prenant la route vers 10 heures du matin, ce vendredi 6 avril 2012. je plonge dans un embouteillage monstre qui n’en finit pas. A Si Mustapha, je fais une halte pour prendre un sandwich . Une entrecôte aux frites avec un peu de piment ecrasé à peine piquant. Je prend un café dans un gobelt jetable et file sur Tizi Ouzou. A Tizi Ouzou, c’est déjà le brouillard épais. En cours de route malgré le manque de visibilité avec ces passants et, à plus forte raison les gendarmes et les policiers qui me croisaient dans les barrages, je ne finis pas d’attirer l’attention avec ma plaque d’immatricultation qui pendait à l’avant comme s’elle allait tomber d’un moment à l’autre.. Voilà une bien astucieuse idée pour se faire saluer de tous les hommes épris de bonté et de sympathie. En guise de réponse à ces gens qui me faisaient signe de la main en indiquant l’avant de la voiture, je me contentais de répondre d’un geste, avec une naiveté presque artificielle. décollée d’un coin, ma plaque d’immatricultaion se penchait obliquement sur 45 degrés. on n’a pas fini de me faire ces signes, tout le long du trajet, que ma plaque allait tomber. A Oued Aissi, le gendarme me fit signe de m’arréter. Par la vitre entrouverte de ma chevrolet noire, il me lança avec un regard presuqe souriant  » enlevez votre plaque, vous risquez de la perdre sans vous en apercevoir » mettez-la sur votre tableau de bord de façon à ce qu’elle soit visible de loin. » Ok!  » Mon frèere généraux » lui répondis-je en arabe dans un accent presuqe libanais qui trahit cepenat mes la phonétique de mes aieuls kabyles.

j’avancais dans le brouillard vers Mekla, puis je prenais de l’altitude vers iggouffaf , et me voilà presque à proximté de Ain El Hammam. mais là j’ai du perdre le fil de mon chemin et reviens à l’arriere sur plus de 5 kilometres pour reprendre le bon chemin. Le brouillard a fini par me faire égarer et j’empruntais une piste goudronnée qui serpente autour d’un mamelon comme pour le ceindre de son écharpe bérbére…

à Ait Mellal, le brouillard etait épais à couper au couteau. Comme à Londres. It’s foggy , diraient les english. Ce n’est que vers 15 heures 30 que je parvins à iferhounene. je stationne devant le garage de Abdellah , mon frère ainé. mais c’est chez mon frère plus jeune que lui et plus agé que moi , que je dois débarquer. là ou ma mère ne m y attendait point, car sans nouvelle de moi depuis plus de 15 jours. ce sera la suirprise puisque elle n’a pas été mise au courant de la visite que je m’appretai à lui rendre

En entrant dans la villa de mon frère où avait élu domicile ces derneirs ma mère, je rencontre dans les couloirs, Boussad mon autre rère plus jeune que moi. il s’apprétait justement à s’en aller, accompagné de son fils Karim. Il venait d’achever sa visite auprès de notre vieille mèere. Ils nous saluérent jtous deux joyeusement avant de dévaler les escaliers et disparaître dans le brouillard. On n’entendait que le bruit du moteur des vehicules qui passaient à contre bas de la villa. très lentement , phares et veilleuses allumés parfois méme avec feux de détresses sur la Route nationale menant vers Ai El Hammam à l’Est et à l’ouest vers Tifilkout.

je fis irruption dans la piéce qu’occupait la mére que je pensais trouver impotente, alitée, inerte ou respirant petitement, chichement. Rien de tout cela! que vois-je, en effet? ma mère toute rayonnante! elle avait l’air bien quiéte, posée, reposée et lucide. Elle me salue comme à l’habitude, je l’embrasais sur les joues. Elle commençait sans tarder à me narrer ses problèmes de santé. Elle venait de traverser une phase critique de son existence. Dieu merci au bout du compte elle a fini par voir le bout du tunnel après une periode mouvementée, brumeuse, dure..

Puis vinrent nos escapades spirituelles, pour rendre plus agréables notre discussion et le temps précieux que nous sommes en train de passer ensemble. Le temps semble avoir suspendu son vol , et nous baignons dans un plaisir inouï. Ma chére maman que je revois, lucide, calme et satisfaite, elle venait d’avoir ses 96 ans. Elle a gardé toute sa sérénité, et toute sa lucidité. Elle l’avoue elle-méme  » j’ai toujours la mémoire bonne malgré un état physique des plus précaires, mon fils » m’a-t-elle dit. J’ai compris exactement en lisant dans son visage transparent ce qu’elle venait simplement de me rappeler. je le sais, sans méme qu’elle ait besoin de me l’exprimer. je testais en ce moment la fiabilité de ses cellules nerveuses en lui faisant raconter un événement lointain et un autre très récent de notre existence. Rien à dire, ma maman, malgré ses 96 ans tient toujours le coups sur le plan psychique. elle est, je dirais méme, intacte coté système nerveux.

Publié par : iferhounene | 7 avril 2012

Kabylie : escapade fugitive du 6 avril 2012

Kabylie : escapade fugitive du 6 avril 2012

je fuis Alger et ses embouteillage, en prenant la route vers 10 heures du matin, ce vendredi 6 avril 2012. je plonge dans un embouteillage monstre qui n’en finit pas. A Si Mustapha, je fais une halte pour prendre un sandwich . Une entrecôte aux frites avec un peu de piment ecrasé à peine piquant. Je prend un café dans un gobelt jetable et je file sur Tizi Ouzou. A Tizi Ouzou, c’est déjà le brouillard épais. E n cours de route malgré le manque de visibilité avec ces passants et , à plus forte raison les gendarmes et les policiers qui me croisaient dans les barrages, je ne finis pas d’attirer l’attention avec ma plaque d’immatricultation qui pendait à l’avant comme s’elle allait tomber d’un moment à l’autre.. Voilà une bien astucieuse idée pour se faire saluer de tous les hommes épris de bonté et sympathie. En guise de réponse à ces gens qui me faisaient signer de la main en indiquant l’avant de la voiture , je me contentai de saluer avec une naiveté presque artificielle. décollé d’un coin, ma plaque d’immatricultaion se penchait obliquement sur 45 degrés. on n’a pas fini de me faire ses signes , sur le long du trajet que ma plaque allait tomber. A Oued Aissi , le gendarme me fit signe de m’arréter , et par la vitre entrouverte de ma chevrolet noire , me dit  » enlevez votre plaque, vous risquez de la perdre sans vous en apercevoir » mettez-la sur votre tableau de bord de façon à ce qu’elle soit visible de loin. » Ok! « cher gendarme! » lui ai je répondu

j’avancais dans le brouillard vers Mekla, puis je prenais de l’altitude vers iggouffaf , et me voilà presque à proximté de Ain El Hammam. mais là j’ai du perdre le fil de mon chemin et reviens à l’arriere sur plus de 5 kilometres pour reprendre le bon chemin. Le brouillard a fini par me faire égarer et j’emprunati un piste goudronnée qui serpente autour d’un mammelon.

à Ait Mellal, le brouillard etait épais à couper au couteau. Comme à Londres. It’s foggy , diraient les english. Ce n’est que vers 15 heures 30 que je parvins à iferhounene. je stationne devant le garage de sI Abdellah , mon frère ainé. mais c’est chez mon frère plus jeune que lui que je dois débarquer. là ou ma mère ne m y attendait point , car sans nouvelle de moi depuis plus de 15 jours. ce sera la suirprise puisque elle na pas été mise au courant de la visite que jem’appretai aà lui rendre

entré dans la villa de mon frère je rencontre Boussad , mon ferre plus jeune que moi ,dans les couloirs. il s’apprétait à s’en aller, accompagné de son fils Karim. Ils nous saluérent joyeusement avant de dévaler les escaliers et disparaître dans le brouillard. On n’entendait que le bruit du moetur des veihicules qui passaient à contre bas de la villa. sur la Route nationale menant vers Ai El Hammam à l’Est et à l’ouest vers Tifilkout.

je fis irruption dans la piéce quàccupait la mére que je pensais trouver impotente , alitée, inerte , respirant chichement. Rien de tout cela! que vois-je, en effet, ma mère toute rayonnante! elle avait l’air bien quiét, posé, reposée, et lucide. Elle me salue comme à l’habitude , je l’embrasais sur les joues. Elle commençait sans tarder à me narrer ses problèmes de santé. Elle venait de traverser une phase critique de son existence. Dieu merci , elle a fini par voir le bout du tunnel.

Puis vinrent nos escapades spirituelles , pour rendre plus agréables notre discussion et le temps précieux que nous sommes en train de passer ensemble. Le temps semble avoir suspendu son vol , et nous baignons dans un plaisir inouï. Ma chére maman que je revois , lucide , calme et satisfaite, elle venait d’avoir ses 96 ans. Elle a gardé toute sa sérénité, et toute sa lucidité. Elle l’avoue elle-méme  » j’ai toujours la mémoire , malgré un état précaire physique, mon fils » m a t elle dit. J’ai compris exactement en lisant dans son visage transparent ce qu’elle venait simplement de réitérer. je le sais , sans méme qu’elle ait besoin de me l’exprimer. je testais en ce moment la fiabilité de ses cellules nerveuses en lui faisant raconter un événement lointain et un autre très récent de notre existence. Rien à dire , ma maman, malgré ses 96 ans tient toujours le coups sur le plan psychique. elle est , je dirais m&éme, intacte sur ce plan

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10:56 Écrit par abdenour dans Abdenour Si Hadj Mohand, Algerie, Kabylie | Lien permanent | Commentaires (0) |

Kabylie : Voter Nabila Adjlout pour le FFS , c’est assurer l’avenir de vos enfants

Iferhounene lance un appel à tous les citoyens algériens pour un vote utile. Nous recommandons au nom de sincérité de voter pour les tétes de listes de la wilaya pour la personne de Adjlout Nabila, candidate FFS, que nous connaissons sur le plan professionnel , moral et intellectuel

En votant pour le FFS, parce que Adjlout Nabila, en sa qualité de femme , dioplomée, cadre et défenseur des principes et idéaux de nos héros de la révolution , vous voterez pour le candidat qui défend la femme citoyenne , mais aussi pour le représentant honnéte et engagé dans la défense de nos principes et également pour l’action de développement de notre jeunesse . En votant pour les tétes de listes FFS à Tizi Ouzou, vous assurez la défense de notre avenir, notre existence , notre reconnaissance par tous dans l’Algerie qui nous appartient et non l’Algerie des pistonnés ou des grosses légumes

Votez pour les candidats honnétes , sincéres et perséverants: Adjlout Nabila. Nous nous portons garants et répondons de notre choix. habitants de Tizi Ouzou , votez donc FFS, Nabila Adjlout , ce sera votre choix

Publié par : iferhounene | 1 avril 2012

Malika Domrane chante à Montréal le 21 avril 2012

Publié par : iferhounene | 29 mars 2012

Canada : Loraine Lagacé ou le miroir d’un peuple

Cette femme, nous lui devons un grand hommage. en tant que femme d’abord. pour son charme et son courage. Son intelligence et sa sociabilité. Dévouée même trahie et martyrisée. Un trésor dont les hommes n’ont pas su cultiver les fruits doux, une fleur, une sensibilité qu’ils n’ont pas protégée par égoïsme. Une perdrix livrée aux chasseurs impitoyables, affamés… insatiables

En tant qu’écrivaine qui nous a fait découvrir le monde des hommes aux hommes.  Toutes les facettes de cet étrange être qu’est l’homme y sont étalés avec une précision remarquable d’un psychologue doublé d’un artiste : amour, égoïsme, sauvagerie, arrogance, matérialisme, lâcheté, courage, reconnaissance, jalousie, hypocrisie. tout! absolument tout ce qui caractérise ce monstre, l’homme,  nous a été montré par cette femme qui l’a  subi sans mesure aucune , à satiété. Un bébé fréle  jeté au milieu de crocodiles affamés. Un bel oiseau livré aux reptiles dans une cage  grillagée accessible aux serpents, ses bourreaux qui lui injectent leur venin à tour de role. Parfois, l’homme se transforme en protecteur, alors la faible créature croit trouver ,pour un instant fugace, fugitif, l’amour et la symbiose des ames et des sexes  unis dans un moment de plaisir ineffable, réparateur.

En tant qu’analyste politique, cette femme, Loraine lagacé nous apprend ce qu’est la stratégie des monstres politiques ,  mais aussi d’un peuple pris entre son passé et son avenir hypothétique. Un passé renié par le géniteur: la France et un avenir , enjeu de puissances économiques et militaires: la toute puissante Amérique et la non moins redoutable Grande Bretagne.

 En lisant « Stratège » de Loraine Lagacé, nous avons un arrriére gout  d’inachevé qui creuse notre faim de savoir encore plus  de ce peuple québécois, sur son histoire , son destin,  mais narré par cette femme qui sait captiver par la simplicité du verbe et la fluidité du langage ,  l’authenticité dans la description des sentiments, la clarté des images et l’intelligence des idées où aucune place n’est laissée au couple traditionnel. Cette femme ne fait allusion à aucune forme d’union sacrée, et c’est justement la quéte du bonheur va  la jeter dans les entrailles de ce monstre sexuel pour ne plus voir la lumière du foyer protégé jalousement par par l’ignorance d’un mari sans problème, modéle des sociétés traditionnelles. C’est le femme moderne d’une société à l’apogée des idées de liberté, d’égalité des sexes, dans les plus hautes sphères de l’Etat où se livrent un combat sans pitié les ambitions démesurées des hommes à la conquéte du pouvoir, que Laurence Larrivée, sans doute pseudonyme de Loraine Lagacé, sera livrée aux appétits voraces des loups affamés, au chantage, à la persécution des barbouzes, françaises, américaines et canadiennes. la menace de mort la guette sans cesse,  mais ceux sont le stress et la relation sexuelle, l’amour en d’autres termes utilisé comme arme de destruction qui auront raison de la volonté de cette pretty girl…..disons le en angalis, car la cause pour laquelle elle était convaincue etre engagée et à laquelle elle y a cru de toute son ame n’etait, contre toute attente, qu’une supercherie : le Canada  a choisi la voie de l’Amérique, de l’anglosaxon, de la technologie, de l’avenir antinomique du sentiment d’une  appartenance à une origine historique européenne…..française.


Yaha Abdelhafid : un maquisard de première heure, un politicien lucide et direct

Camp de la 2° compagnie du 6°bataillon de chasseurs alpins(iferhounène 1956-1962)
extrait_memoires_d_un_enfant_de_la_guerre.pdf

Ratissage et Embuscade : Iferhounéne et Tifilkout (Grande Kabylie)

  Il est né en 1933 à Thakhlidj Ait Atsou dans la commune actuelle d’Illilten faisant partie de l’ex commune mixte du Djurdjura. trés jeune il s’est engagé dans l’ALN,aprés s’être formé politiquement en militant auparavant dans les rangs du MNA

 il entrera en contact avec les plus célébres leaders révolutionnaire en particulier une personnalité légendaire : Amar Ath Cheikh. Il côtoie dans ses missions , Mohand Oulhadj qu’il connaissait parfaitement pour l’avoir comme collaborateur direct  dans sa position de responsable militaire de la région.

 Dans son village où il est né , Thakhlidj Ait Atsou, une partie de l’histoire de l’Algerie  du 19° siècle, malgré un parti pris déclaré de l’historien français et non moins grand chirurgien, nous sera rapportée par le Docteur BERTHERAND dans son ouvrage “campagnes médico chirurgicales de Kabylie” 1854, 1856 et 1857. Pour rappel, En effet c’est là précisément qu’une résistance farouche a été opposée par les villageois et des renforts kabyles venus des autres Arouchs des quinquigentianes, (les 5 peuples ou arrouchs) contre Les troupes du général Yusuf, du Maréchal Randon, et de l’armée de Bordj Tizi Ouzou où ils ont livré une bataille implacable contre cette armée coloniale  moderne, nombreuse et suréquipée de l’époque.

Dans cette région escarpée, un village blotti au flanc du Mons ferratus, lui confère une position stratégique qui la rend inaccessible à l’ennemi et qui offrait un refuge des plus sécurisés aux maquisards. C’est là d’ailleurs durant la dernière guerre de libération que Yaha Abdelhafid établit le siège de son poste de commandement.

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 Aujourd’hui, Yaha Abdelhafid, un héros de la guerre de libération, en fouillant dans sa mémoire, nous raconte les événements avec une fluidité que l’on ne  connait qu’aux gens authentiques, sincères, et intègres. il se souvient avec une clarté remarquable des images, des paroles, de la configuration des terrains d’opérations meurtrières, mais aussi des menus détails avec une placidité imperturbable. D’un calme  exemplaire, notre héros, raconte les événements sans interruption ni hésitations, tout en répondant à nos multiples questions, en pleine interview, quand on ne pouvait s’empécher de l’interrompre à plusieurs reprises, pour demander des précisons sur tels ou tels personnages, sur tel ou tel type d’armes utilisées, ou sur les bilans des opérations, accrochages  embuscades, coups de mains. Il reconnait ne pas pouvoir mettre sur son histoire de maquisard convaincu un calendrier. Encore moins une chronologie, tellement absorbé par sa foi de vaincre, de combattre l’ennemi où qu’il se trouve avec toujours l’idée qui ne le quittera jamais,  de se sacrifier pour le pays.  Son tempérament a fait de lui qu’il  n’admettra jamais de tomber entre les mains de  l’ ennemi, vivant et, se dit-il au fond de lui qu’il faut toujours attaquer, faire son devoir, puis mourir d’une balle sans donner la Possibilité à l’ennemi de se venger ou de tirer un quelconque bénéfice par la torture consécutivement à une eventuelle capture ,  s’ilvenait à tomber entre leurs mains. Des morts du coté de cet ennemi acharné, il reconnait en avoir fait . C’est la guerre, reconnait -il,  et il fallait donc tuer ou accepter de mourir et  laisser dominer, coloniser, asservir…. ses enfants par un dominateur exploiteur.  Il s’occupait de planifier les attaques, les embuscades, et reconnait  que pour mettre de l ‘ordre dans la chronologie  des éléments qui ont égrené sa carrière de chef militaire du FLN durant cette terrible guerre, qu’il n’y a pas de meilleur placé dans sa compagnie  que son collègue Mouloud, et qu’il faille s’en référer à celui-ci pour visiter sa mémoire prodigieuse riche en évènements. comme chacun a ses possibilités, ses dons, et que l’on ne peut être parfait dans tous les domaines. Mouloud, occupera comme tout  le monde le sait dans les trois communes, Ath Yetsoura, Ait illilthen, et Imessouhal,  qui constitueront la première APC  de l’indépendance un poste de travail à l’APC d’iferhounéne.

               Monsieur Yaha se souvient  de leur lieu de bivouac  à Tifilkout. Avec sa compagnie. il se remémore ces compagnons de guerre dont il avait une idée précise, une appréciation juste et complète . C’est l’endroit , dit il , idéal pour échapper aux ratissages et bouclages de toutes sortes des chasseurs alpins et des soldats ” étrangers” :

 1. on désigne par soldats étranger s, les éléments, de L’armée française qui ne figure pas aux effectifs du 6°BCA-2°compagnie campée à Iferhounene.les troupes étrangers au secteur ; sont les parachutistes, et autres .

 iI nous citera le nom d’un de ses compagnons, en l’occurrence Mahdi Mokrane qui opérait avec lui à partir de leur lieu de refuge à Tifilkout. Ce lieu très stratégique offrait de multiples possibilités d’échapper à l’ennemi en cas d’attaque, de ratissage

  A la tète d’une compagnie des troupes de l’ALN, il avait décidé d’organiser une embuscade au lieu dit Thikaathine, sur une position surplombant le village Ait El Mansour. Cette embuscade devait durer toute la nuit et ce n’est qu’à l’aube que l’ennemi devait se manifester ce jour,  mais avec des moyens et des effectifs, sans commune mesure avec la petite compagnie que dirigeait notre chef de section. La nuit s’était passée dans un calme plat et, dira t-il,   notre position stratégique, à l’endroit où nous avions choisi de tendre notre embuscade, nous pouvions observer minutieusement tous  les mouvements  des chasseurs alpins de la 2°compagnie du 6°bataillon des chasseurs alpins (BCA) campés à iferhounene…à environ 500 mètres  à vol et d’oiseau et 3 km  de piste sinueuse qui mène droit au camp, en empruntant le virage à gauche au carrefour de Tizi Bouirene. On pouvait tout voir, et même tout entendre à l’intérieur de cette cuvette posée sur les pitons  et cernée par la majestueuse chaine de Djurdjura. C’est au moment où les premières lueurs  du petit matin commençaient à étendre leurs poussières de lumières sur le ciel noir bardé du rideau de fer du Mons ferratus .Bte5 -femme guy 1960.JPG

 2.mons ferratus :littéralement :montagne de fer :rideau de fer: nom donné par les romains à cette chaine du Djurdjura ,  en raison de la résistance farouche et l’invincibilité légendaire des berbères lors des guerres que les conquistadors européens ont mené dans cette region.

Oon commençait à peine  à distinguer les formes massives et opaques  des collines,  des gros arbres devant nous, de la piste et des maisons avoisinantes,   qu’un long convoi de bahuts de gros gabarits approchait presque furtivement pour aller rejoindre le camp « logoda carmin » nom de code du camp d’iferhounène  posté sur un “épéron ” à peine à 150 mètres des premières mechtas du village iferhounene. Ces camions venus de Michelet  seraient envoyés de Tizi ouzou, nous signalaient  qu’un ratissage de grande envergure était en cours de préparation. il s’étendrait certainement sur plusieurs localités, de Tifilkout à Ait Yetsoura, en passant par le versant nord du mamelon de timezguida,  après avoir brassé toute la région d’imessouhal. Mais la stratégie de l’ennemi  nous apparaissait de plus en plus nette : ratisser large  en cernant tous les petits groupes que nous constituions, dispersés sur plusieurs  positions les unes plus au moins proches des autres.  Remarquant ce manège, je pris la décision d’alerter immédiatement nos compagnons  positionnés à Tifilkout  commandés  par Si Mokrane,  sur la situation nouvelle qui risquait d’évoluer dangereusement pour nos hommes en un laps de temps record. je leur recommandait, par message liaison, de quitter immédiatement leur lieu de refuge. La réponse de Si Mokrane qu’il me transmit par messager, je l’avoue, m’indiquait clairement  que celui-ci n’avait  pas encore réalisé  l’envergure des préparatifs et des intentions de l’ennemi. Elle était en quelque sorte un “wait and see”, alors qu’e nous n’avions dans de telles situations aucune seconde à perdre pour réagir. Laisser l’occasion  à des centaines de soldats, bien équipés,  de se déployer, pour leur donner l’avantage du terrain était pour moi, un acte suicidiare. ’étais à la téte d’une section avec le grade de sergent, nous savions aussi que le FLN ne pouvait aligner que quelques hommes commandés par un cadre de modeste hiérarchie contre une section commandée généralement de l’autre coté de la bataille par un lieutenant ou pour le moins sous-lieutenant, équipés de matériels sophistiqués leur permettant non seulement de lancer des offensives meurtrières mais aussi de tenir aussi longtemps possible. Et dans des cas d’extréme besoin ils n’hésiteraient pas à faire intervenir l’aviation  pour arriver aux résultats escomptés à moindres frais et risques pour leurs soldats appelés, jeunes dont beaucoup ne dépassaient guere 20 ans d’age et souvent inexpérimentés, non rompus au crapahut de ces montagnes au relief accidenté.

     La lumière du jour commençait alors à remplir l’horizon, et en regardant nos chaussures, on pouvait maintenant reconnaitre les couleurs et distinguer jusqu’à nos lacets. .subitement je compris que le rideau qui nous dissimulait  la vue sur  notre environnement est tombé de façon presque subite  et que l’on risquait de se faire piéger si l’on ne réagissait pas énergiquement et surtout très rapidement à cette situation. Dans des cas pareils, j’ai compris aussi que l’erreur pouvait être fatale.

A ce moment, nous apercevions une nuée de soldats déployés sur les minis plaines formant ce relief typique à cette region mitoyenne de la haute et majestuese chaine du Djurdjura . ils étaient, comme on-dit ici chez nous en kabylie,” plus nombreux que les arbres” et commençaient à s’éparpiller dans  toutes les directions,sur les flancs des collines qui nous faisaient face, cen un plan incliné comme pour nous exposer volontiers sa face à notre regard.D’autres groupes se dirigeaient vers une direction diamétralement opposée, derriére notre position ,pour venir nous prendre en étau, sans doute sans qu’ils s’en rendent effectivement compte de leur action, car n’ayant pas  eoncore pour le moment découvert notre cache. par la route carrossable qui mène vers Tizi Guefres, ils progressaient lentement, presque en dilettante, ignorant où et quand, un accrochage pouvait se produire d’un moment à l’autre. Nous nous trouvions au bout de quelques minutes pris en sandwichs entre les troupes qui se dirigeaient à contrebas de Tifilkout à l’ouest de notre lieu d’embuscade, et les éléments, qui derrière nous, contournant notre position que nous avions fixé à quelques mètres seulement du village Ait El Mansour non loin de La piste qui ira rejoindre à l’opposé celle empruntée par ceux qui semblaient faire mouvement vers tizi guefres. A ce moment, le mont de timezguida surgissant de l’obscurité en pointant nettement  son pic à 1800 mètres d’altitude. iL fasait une sorte de rideau qui  nous séparait de la piste qui ceint le mamelon de timezguida  dont sa base donne inévitablement sur notre position. Nous nous sommes trouvés, sur comme qui dirait une simple station sur un chemin de fer à voie unique, qui ne pouvait échapper à l’arrivée du train d’un moment à l’autre. Notre position était devenue donc un passage obligé de nos ennemis et ce n’était qu’une simple question de temps.

    L’objectif de cette opération de l’armée française était de réduire  à  néant les maquis de cette région très escarpée,  à Certains endroits mêmes inaccessibles. la cible de ce ratissage nous apparaissaient de plus en plus claire-les Ait Yetsoura dont le relief n’offrait aucune chance d’échapper en cas de replis des maquisards et les illilten blottis au flanc du Djurdjura, avec comme position avancée presque imprenable Tazrouts Ouamrane fournissaient aux “rebelles que nous étions pour la France, des échappatoires sécurisées. A la vue de ces préparatifs et du déploiement des forces ennemies; encerclés de toutes parts que nous étions, à un moment de la journée non propice à un repli discret, et donc n’offrant aucune sécurité, nous avions tous pensé que nous allions inévitablement vers une mort certaine: en clair c’etait l’extermination qui nous attendait , et ce n’était qu’une question d’heures voire de minutes. Nous nous trouvions en fait devant un fait accompli, résultant de notre initiative de tendre une embuscade à cet endroit très proche du camp, des renforts et préparatifs de l’ennemi, et de la levée du jour. Nous avions vite réalisé le danger, compris les enjeux, et évalué nos possibilités: dans des cas d’espéces, nous n’avions pas tellement d’alternatives. Soit nous rendre à l’ennemi, ce qui était totalement exclu , inpensable méme. soit nous lancer dans une bataille acharnée jusqu’au dernier homme, en essayent de tenter le diable pour causer le maximum de pertes humaines et matérielles à l’ ennemi. Nous avions donc décidé de passer à l’action et immédiatement , comme premiére dispoistion ,nous avions pris la décision de changer de position. j’avais pris position avec une partie de mes hommes  à proximité du village de Mnea , à quelques 200 mètres plus bas de notre position initiale . Alors qu’une partie de la compagnie composée au total de 35 éléments s’était postée sur le coté ouest du village dans l’éventualité d’un replis massif de l’ennemi sur cette zone très spacieuse qui offrait un terrain plat pour les soldats, qui seraient tentés de fuir les sources des projectiles , plus facilement, car le reste de la configuration du relief n’offrait aucune possibilité de circuler sans risquer de dégringoler sur un terrain tres escarpé pour finir dans le ravin qui se situe à plus de 1000 métres..

     La connaissance et l’analyse de cet espace sauvage , avec sa végétation  ,nous avait en effet donné raison, et on évoluait dans ce décor d’une nature austére comme un poisson dans l’eau. Nous  vivions ,il est vrai en parfaite symbiose avec notre mieux. Ce que les jeunes soldats français, pour la plupart citadins ne connaissaient guère pour se représenter le danger qui les guettait.

Apres analyse donc du terrain, nous savions qu’il fallait à tout pris éviter tout replis à l’est sur le village Ait Ouatas situé au bout de la piste qui part du village  Mnea  où se déroulait l’embuscade. Ait Ouatas ? c’est  le seul village  solitaire situé dans cette cuvette presque oblique en forme d’entonnoir coupé longitudinalement .la végétation y est très rare, et les arbres ne protègent que des endroits qui ne présente aucun intérêt stratégique pour un guerrier. le village lui même peut étre observé de la route carrossable qui le surplombe et d’où l’on y pouvait voir tous les mouvements  suspects.  l’aviation opère aisément tant pour le piper pour la visibilité que  le T6 qui à eu à intervenir à plusieurs reprises pour en éloigner nos maquisards qui tentaient souvent d’attaquer le camp de Agouni Adella caché derriere l’éperon de Boumessaoud ,unique village mitoyen visible à peine à partir de là .Du coté opposé, c’est à dire  vers le village Taourirt , à l’ouest de Mnea par contre , en s’approchant en quelque sorte tout à fait au pied du piton qui porte  sur son dos le village et le camp d’iferhounene,c’est un véritable champ de figuiers qui vous accueille et qui vous permet non seulement de prendre toutes les directions le cas échéant en cas d’accrochage  y compris pour remonter la pente sans risque de se faire canarder.

    Le temps passe vite et l’étau se ressert de plus en plus sur notre compagnie , que je décide de scinder en deux groupes.Le premier groupe que je commandait était posté juste au dessus des premiéres maisons du village . le second , commandé par Si Mokrane  sera lui, embusqué sur le flanc ouest de ce méme village. A peine les préparatifs  terminés , et nos positions occupées,les ultimes recommandations faites à nos soldats que  les premiers soldats ont commencé à pénétrer dans le village par le bas en empruntant la  ruelle principale. A ce moment précis, les femmes affolées étaient sorties de leurs maisons en criant «  ayimjouhadh, al aaskar athnidh dhithajmaath, fuyez !fuyez !maquisards les soldats (français) sont là, ils sont parvenus  à la djemaa). À cette annonce de l’arrivée des soldats ennemis, et l’imminence d’un dur accrochage j’eus cette réplique à l’endroit de ces femmes apeurées, aussi spontanée que la plus naturelle du monde. ” Et nous  alors ? Qui sommes-nous ? Ne sommes -nous pas des soldats (du FLN s’entend) ?vous allez assister aujourd’hui à un combat de vos propres yeux , enchainais-je sans me rendre compte de l’effet que cela allait produire sur ces pauvres femmes. Mon esprit envahi par l’imminence d’un dur accrochage, le temps n’était plus à mesurer ses mots. Le danger était réel, présent.Les premices des combats commençaient déjà à montrer leurs premiers effets sur notre comportement.  d’Adrénaline faisait déjà son effet  et les premiers soldats empruntant la ruelle principale quelques peu épuisés par l’effort fourni lors du parcours et du crapahut sur un relief escarpé la baisse de la vigilance aidant, le  déluge de feu  faisant le reste en s’abattant sur les premières lignes  de cette compagnie qui semblait s’étirer à l’infini.On se poserait la question de quoi etait composée cette compagnie des soldats français et de quelles réséreves disposeraient ils dans ces montagnes dépeuplées de ses populations et des animaux sauvages?

 les premiers ayant essuyé nos coups s’affaissèrent , le reste de la compagnie ‘s’était replie comme prévue sur le champ de figuiers , pensant sans doute leur procurer plus de visibilité et l’exposer à moins de risque. A ce moment ils étaient accueillis par d’interminables salves d’armes automatiques provenant du groupe de Si Mokrane dont les éléments étaient , comme je l’avais dit , postés  auparavant à cet endroit méme. Ce groupe de maquisards, était équipé d’armes automatiques et suffisamment nantis en munitions.

 Pendant  ce temps les femmes qui étaient venues nous avertir de leur arrivée, se sont vite terrés dans leur trou, ces maisons kabyles aux portes  lourdes, en bois grossièrement menuisé, et aux fenêtres  qui ressemblent à de petites bouches d’aération.

 De la position que j’occupais stratégique je dirais, non seulement je dominais la situation mais aussi j’avais pu analyser vite la situation et évaluer  en quelques secondes la puissance de l’ennemi : en effet voici ce qu’était avant déclencher un déluge de feu , l’état des troupes ennemies :armes à la bretelle, démarches détendues et peinant à avancer, absence de vigilance-les soldats n’avaient semble-t-il pas imaginé, en pénétrant le village rencontrer  un ennemi aussi coriace est surtout aussi solidement armé- en tirant, les premiéres victimes s’affaissèrent, seuls ceux qui n’étaient pas touchés par les premiers projectiles et la panique provoquée par l’effet de surprise ont pu se replier, mais comme nous l’avions prévu, sur le champ de figuiers qui s’exposa aux tirs nourris de mes compagnons . En ce moment , les femmes courageusement s’étaient mises  à sortir de leurs “trous” après les premiéres rafales d’armes automatiques pour s’enquérir de la situation- En voyant ce qui s’était passé elles s’étaient mises à pousser des “youyous “, cris stridents traditionnels qui marquent les moments et occasions de joie. En quelques minutes nous avions pu neutraliser l’ennemi qui certes ne s’attendait pas à un tel accueil de la part de ces kabyles montagnards et non moins rebelles, que l’on rencontre rarement sur son chemin, sous un soleil brillant. L’idée rependue chez les stratèges colonialistes, que de ce coté là les fellaghas ne sont à craindre que de nuit  a été ce jour remise en cause de façon fulgurante.il était vrai et presque notoirement admis que les camps des chasseurs alpins ne sont harcelés par les troupes du colonel Amirouche que de nuit, pour disparaitre ensuite très rapidement sous la couverture de l’obscurité compacte de la nuit.

 Apres avoir neutralisé à ce niveau l’ennemi, nous primes la direction d’ikhdachen, à l’ouest, nous approchant progressivement du pied du village Iferhounene et du camp Iferhounene à contre bas  à une altitude d’environ moins 500 mètres. Puis nous traversions la rivière qui serpente non loin des villages des Archs Ait illiten et de Ath Yetsoura.en quelques minutes ne nous retrouvinmes au village iguer Aouine puis Tazrouts Ouamrane . non loin de Tifilkout ou un deuxième accrochage était en train de faire rage entre nos éléments et ceux de l’armée d’ennemi qui avaient emprunté le chemin diamétralement opposé. A ce moment nous commencions étre visés à l’obus. Ceux, de soldats français restés a Thikaatine, bien exposés à notre nouvel emplacement, profitaient pour nous cibler au canon. ils pouvaient en effet aisément observer nos mouvements, et continuaient de nous pilonner. Ce pilonnage s’est soldé en fin de compte  par 12 tués de notre coté. Puis, ce fut au tour de l’aviation d’intervenir aux moyens de bidons de napalm. Pour revenir aux bilans de cet accrochage, je me dois de signaler que plusieurs gradés et des soldats ont été tués du coté de nos assaillants .

 Au passage d’un avion venu larguer ses bidons-un de mes éléments s’était mis attirer sans l’atteindre. ce qui avait permis à l’ennemi de nous repérer-une précison , nous avions remarqué que ce type d’avion qui descendait jusqu’a ‘à une altitude 400 mètres pour jeter ses bidons qui explosaient en dégageant une flamme de couleur violette avant de répendre son produit hautement dangereuse sur un rayon de 20 mètre environ . Au passage d’un avion venu larguer ses bidons, Achour Ait AISSA, un de mes compagnons continuait de tirer sur les t6 qui venaient a tour de role larguer leurs bidons r, sans les atteindre car ils étaient hors de Portée. Ce qui avait permis a l’ennemi  d’accenteur ses tirs sur mon groupe qui avait été touché dans son intégralité :

 Bilan  : 10 maquisards tués

 En ce qui concerne les pertes de l’ennemi , nous pouvons dire plus de 300 soldats entre gradés et hommes de troupes ont trouvé la mort.mais le secret dont étaient entourées les statistiques militaires du colonisateur, ne permettront jamais de confirmer ou d’infirmer ces pertes.Une chose est cependant acquise , que les pertes subies sont réelles et importantes.On saura , par contre , 50 ans apres la guerre , que des soldats français envoyés en Algerie , pour cette mission de ‘”maintien  de l’ordre ” ne seront jamais retrouvés et alors que d’autres sont recensés que morts pour la France.Il serait judicieux de mettre en place , à l’instar de la mission que s’est proposé de faire JAFFRES pour élucider cette question des pertes de l’armée française durant la guerre de liberation.Un travail utile est à l’heure actuelle sur le point d’étre finalisé par un chercheur algérien  et qui a pour objectif d’apporter une lumiére sur l’histoire du 6°BCA- qui a opéré en kabylie entre 1956 et 1962

 Les archives et les mémoires des survivants commencent à livrer leurs secrets pour ceux qui l’Histoire ne doit et ne peut étre enterrée, car c’est sur la passé qu’on construit l’avenir , et qui plus est ceux qui se sont sacrifiés ne l’ont pas été en vain.

    Le lieutenant CAPELLE , l’adjudant Cuvillier ou encore le descendant du Roi Philippe 1 °le lieutenant Francois d’orléans , ne seront certainement pas les seules victimes de cette guerre injuste ,mais  ceux à qui la France a rendu publiquement un hommage pour s’étre sacrifiés pour la France , mais pour quelle cause? combien de jeunes soldats sont morts dans l’anonymat , combien de jeunes  français  ne reverront plus leurs familles et qui seront restés méconnus ou inconnus?je ne parlerai pas des harkis qui ont choisi une cause s’il en était, mais qui , surement était perdue d’avance car injuste

Publié par : iferhounene | 27 Mai 2014

la mort du heros Aroua Mohand Oussalem

Chapitre 2 : La Moudjahida Belkadi Zahra se souvient… des circonstances de la mort du sergent chef Aroua Salem
Belkadi Zahra, témoin vivant de la mort du sergent chef militaire, Aroua Mohand Oussalem membre du groupe commando FLN, raconte : Image
Belkadi Zahra était , ce jour fatidique, accompagnée de ses deux enfants, de Aissa et de Salem fils de son beau père issus du premier mariage, de Fazia Samer, alors qu’elle transportait du bois sur son dos, du champ dit Oulma, a proximité de la propriete des Ait L’imam, au lieu dit Thakhrivth, a contre bas du village. Alors qu’ils cheminaient péniblement sur un sentier sinueux, a la configuration très escarpée, après quelques livraisons de fardeaux , en arrivant a la maison, Nouara Ait Amara, belle sœur du maquisard Aroua Mohand Oussalem vint a sa rencontre pour l’informer de l’imminence de sa prochaine mission périlleuse : Cette dernière l’informa sans lui fournir plus de détails, du message qu’elle venait de recevoir du maquisard, par l’intermédiaire de El Djida Ait Messaoud, pour lui faire acheminer un peu de nourriture. C’est au lieu dit Achelkoun, un champ appartenant a la famille Hattab et qui n’est pourtant pas loin du camp de la 2éme compagnie du 6 6éme BCA, même s’il se trouve a l’abri du regard des regards des sentinelles, que les rendez-vous se fixent généralement avec toutes les précautions d’usage. Achelkoun est un champ situé a contre bas du village et du camp de la 2éme compagnie du 6éme BCA, Couvert de végétation de toutes sortes, et bien fournis en arbres comme le frêne et l’ormeau, protégé par un talus qui donne l’allure d’une tranchée.
El Djida Ait Messaoud, missionnée par Aroua Mohand Oussalem et son compagnon Nait Baha Mouloud pour se faire livrer quelques provisions de nourritures pour leur propre consommation? N’est ce pas trop indiscret et donc trop risqué pour ces deux maquisards dont la proximité du camp n’était pas un secret, et qui plus est ne se privaient pas de pénétrer souvent au cœur meme du village, a moins de 100 mètres des deux meurtrières qui surveillent en permanence les allées et venus a l’interieur du village.
Sitôt dit, sitôt fait. Abandonnant provisoirement sa fille en bas âge pour remplir sa mission, Nouara Ait Amara accompagnée de Kaissa, se dirigea vers le lieu de rendez vous ou étaient terrés les deux maquisards, attendant leur nourriture qui devait arriver d’un moment a l’autre.
Mais les deux maquisards sont repérés par les « bérets verts » du camp de Taourirt Boudles qui les signalèrent par Poste ER aux chasseurs alpins du camp d’iferhounene.
Une chasse a l’homme s’organisa contre Aroua Mohand Oussalem qui cherchait à contourner le village par le cote Nord Est, pour se glisser derrière l’éperon d’où il pouvait atteindre en quelques minutes le village Ait Ali Ouyahia. Mais la puissance de feu a laquelle sera soumis le maquisard était tel qu’il ne lui était laissé aucune chance de se dérober aux projectiles fusant sur lui de toutes parts. Son Compagnon Nait Baha Mouloud, profitant de la diversion créée par Aroua, cingla au Sud ouest, pour se réfugier dans le fond du ravin, ou la végétation envahit le relief et la configuration prend la forme d’un véritable morceau de bruyère avec des anfractuosités offrant autant de refuges aux animaux sauvages qu’aux fellaghas traqués.
Pendant que Belkadi Zahra s’en retourna à Thakhlivth pour ramener un dernier fagot de bois, a son retour du champ, En cours de route elle sera interceptée par des soldats du 6éme BCA, au seuil de la maison commune dite Thakhamt Ait Ali, A l’ extrême sud-est du village. Un des militaires français braqua sa mitraillette sur la femme qui était accompagnée des gamins et Faiza.
– « Arrête !  » ordonna-t-il.
-Mange ta tête ! Lui répondit Zahra dans la langue kabyle. « Vous voulez m’empêcher de rentrer chez moi!? » ajouta-t-elle.
Zahra jeta son fardeau à terre, en faisant un signe énergique de la main aux enfants et à la femme qui l’accompagnaient de la suivre : « vite! Rentrons! Nous sommes cernés par les soldats français ! ».
Balançant son fils Nacer sur ses épaules libérées du fagot de bois, Aissa, malgré son jeune âge, empoignant solidement son jeune frère Salem par l’avant bras, ils avalèrent le reste de la distance qui les séparait de leur habitation, dans une course ininterrompue avec un affolement indescriptible, pendant que leur parvenait l’écho du crépitement des armes automatiques et des longues et assourdissantes salves des fusils mitrailleurs. Le combat inégal qui s’était engagé, se déroulait sur le champ même que nous venions de quitter. Probablement « chouffé » par les bérets verts du camp de Taourirt Boudles, campé sur le flanc opposé à l’éperon du village iferhounene sur lequel précisément est posté la 2éme compagnie du 6éme BCA. Observé à la lunette des jumelles très puissantes, Aroua Mohand Oussalem et son compagnon Nait Baha Mouloud, seront pris en sandwich par les soldats des deux camps.

 

Publié par : iferhounene | 27 Mai 2014

La première attaque du camp du – 6éme BCA a iferhounéne

La première attaque du camp du – éme BCA a iferhounéneImage

C’est en octobre 1956, a partir du village, embusqués derrière la fontaine du village qui fait face au camp de la 2éme compagnie du 6éme BCA, qu’un groupe de maquisards drapés dans leurs burnous blancs dissimulant leurs armes, attaqua en fin de journée, le bivouac des chasseurs alpins situés a moins de 100 mètres des premières mechtas.
En représailles la soldatesque française pénétra en pas de charge dans la demeure des Aroua, Ath Haroun en langage kabyle, après avoir forcé la serrure du portail d’une rafale de mitraillettes ; Les soldats du Capitaine Favier, commandant la 2éme compagnie, trouvèrent à l’intérieur de la maison les deux frères Aroua : Achour et Mohand Oussalem, et un ami de la famille, ce dernier était comme par hasard enveloppé dans son burnous. Les soldats français se mirent immédiatement à les maltraiter en leur assenant des coups de crosses violents à la tête. Na Taous, La mère des deux jeunes, en tentant de venir au secours de ses enfants sera a son tour violemment prise a partie. Apres leur forfait qui dura environ une vingtaine de minute, ils abandonnèrent les supplicies dans un piteux état. Les coups assenés au plus jeune frère Mohand Oussalemn, a la tête ont été particulièrement violents a tel point qu’ils le laissèrent gisant a même le sol dans un état comateux.
Yalali Ouamer, un voisin du village, la quarantaine environ, handicapé moteur se mouvant sur un tricycle aménagé, et doté de deux plaques , suspendues a l’avant et a l’arrière de son thorax indiquant son état physique et mentionnant son droit au privilège de protection des autorités coloniales, viendra au secours de Aroua Mohand Oussalemn qu’ il se précipita de cacher sous chez lui sous un lit ; Sans cela, le lendemain, a leur retour sur les lieux, les soldats l’auraient achevé sans aucun doute, en constatant les impacts sanguinolents des coups de crosses sur la tête qu’ils auraient surement confondus avec des blessures aux éclats de projectiles d’arme de guerre.
Se postant a l’entrée de chez lui, dans son véhicule spécial barrant la route a toute velléité d’entrer a l’intérieur a quiconque, pendant que Aroua Mohand Oussalem, celui qui fera bientôt partie d’un commando de choc de la rébellion, se cachait sous le lit, retenant son souffle. Les soldats n’osèrent point pénétrer a l’intérieur de la maison, se contentant de fouiller de fond en comble la maison des Ath Haroun sans rien trou*ver bien sur, Les soldats se retirèrent dans leur camp.
Profitant de ce répit, Aroua Mohand Oussalem prit à direction du village Tikilsa ou il sera accueilli par les maquisards de la première heure dont le célèbre Yaha Abdelhafid qui se chargera personnellement de l’enrôler dans les rangs de l’armée de libération nationale. Apres lui avoir fait prodiguer les soins nécessaires, il le dirigera sans tarder sur le centre d’entrainement des moudjahidines situés au Djebel Zen, dans le département de Orléanville. On ne reverra Oussalemn qu’après 9 mois d’absence consacrée à ses classes au sein des troupes de l’ALN, avant qu’il reprenne du service dans les maquis escarpés du Djurdjura.

 

 

 

Chapitre 1 : La première attaque du camp du – 6éme BCA a iferhouneneImage

C’est en octobre 1956, a partir du village, embusqués derrière la fontaine du village qui fait face au camp de la 2éme compagnie du 6éme BCA, qu’un groupe de maquisards drapés dans leurs burnous blancs dissimulant leurs armes, attaqua en fin de journée, le bivouac des chasseurs alpins situés a moins de 100 mètres des premières mechtas.
En représailles la soldatesque française pénétra en pas de charge dans la demeure des Aroua, Ath Haroun en langage kabyle, après avoir forcé la serrure du portail d’une rafale de mitraillettes ; Les soldats du Capitaine Favier, commandant la 2éme compagnie, trouvèrent à l’intérieur de la maison les deux frères Aroua : Achour et Mohand Oussalem, et un ami de la famille, ce dernier était comme par hasard enveloppé dans son burnous. Les soldats français se mirent immédiatement à les maltraiter en leur assenant des coups de crosses violents à la tête. Na Taous, La mère des deux jeunes, en tentant de venir au secours de ses enfants sera a son tour violemment prise a partie. Après leur forfait qui dura environ une vingtaine de minute, ils abandonnèrent les suppliciés dans un piteux état. Les coups assenés au plus jeune frère Mohand Oussalem, a la tête ont été particulièrement violents a tel point qu’ils le laissèrent gisant a même le sol dans un état comateux.
Yalali Ouamer, un voisin du village, la quarantaine environ, handicapé moteur se mouvant sur un tricycle aménagé, et doté de deux plaques , suspendues a l’avant et a l’arrière de son thorax indiquant son état physique et mentionnant son droit au privilège de protection des autorités coloniales, viendra au secours de Aroua Mohand Oussalem qu’ il se précipita de cacher sous chez lui sous un lit ; Sans cela, le lendemain, a leur retour sur les lieux, les soldats l’auraient achevé sans aucun doute, en constatant les impacts sanguinolents des coups de crosses sur la tête qu’ils auraient surement confondus avec des blessures aux éclats de projectiles d’arme de guerre.
Se postant a l’entrée de chez lui, dans son véhicule spécial barrant la route a toute velléité d’entrer a l’intérieur a quiconque, pendant que Aroua Mohand Oussalem, celui qui fera bientôt partie d’un commando de choc de la rébellion, se cachait sous le lit, retenant son souffle. Les soldats n’osèrent point pénétrer a l’intérieur de la maison, se contentant de fouiller de fond en comble la maison des Ath Haroun sans rien trou*ver bien sur, Les soldats se retirèrent dans leur camp.
Profitant de ce répit, Aroua Mohand Oussalem prit à direction du village Tikilsa ou il sera accueilli par les maquisards de la première heure dont le célèbre Yaha Abdelhafid qui se chargera personnellement de l’enrôler dans les rangs de l’armée de libération nationale. Apres lui avoir fait prodiguer les soins nécessaires, il le dirigera sans tarder sur le centre d’entrainement des moudjahidines situés au Djebel Zen, dans le département de Orléanville. On ne reverra Oussalem qu’après 9 mois d’absence consacrée à ses classes au sein des troupes de l’ALN, avant qu’il reprenne du service dans les maquis escarpés du Djurdjura.

 

Publié par : iferhounene | 17 mars 2014

dear

It is my pleasure to contact you for a business venture which I intend to establish in your country. Though I have not met with you before but I believe, one has to risk confiding in succeed sometimes in life. There is this huge amount ($5.500,000,00) Million USA Dollars I divert this Fund to an escrow account belonging to no one in the bank. The bank is anxious now to know who the beneficiary to the funds is because they have made a lot of profits with the funds. contact me here for more detail ( kabongo_veronica@yahoo.fr )
Regards
Mrs Veronica Natalie

Publié par : iferhounene | 20 octobre 2013

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Publié par : iferhounene | 1 octobre 2013

Des sources informées à Algeriepatriotique : «Tamazight sera consacrée langue officielle dans la Constitution»

 
Un long combat pour l'officialisation de tamazight. D. R.

Un long combat pour l’officialisation de tamazight. D. R.

Nous apprenons de sources informées que la mouture de la Constitution, qui sera présentée au chef de l’Etat, comporte la consécration de tamazight comme langue officielle. L’Algérie sera le second pays, après le Maroc, à adopter la langue amazighe dans sa Constitution. Son enseignement est obligatoire dans les régions berbérophones, mais les épreuves d’examen demeurent jusqu’ici facultatives. Ce sera la seconde décision «historique» prise par Bouteflika en faveur d’une revendication longtemps occultée et bannie, après la reconnaissance de cette langue comme seconde langue nationale suite à la révision constitutionnelle de 2003, annoncée dans le cadre des mesures d’apaisement et de réconciliation dictées par les événements du printemps 2001 qui avaient secoué la Kabylie. Cela devrait également mettre fin à une polémique, ancrée dans les milieux berbérisants algériens, qui considèrent que le statut actuel de la langue tamazight serait en deçà des attentes, voire même qu’il l’a davantage amoindrie. Elle permettrait dans le même temps de gagner les faveurs d’une région redoutée pour ses éruptions périodiques, qui ont de tout temps constitué une source de souci pour le pouvoir central et, plus encore, dans une conjoncture politique marquée par des manœuvres politiciennes tous azimuts, où l’on craint, comme toujours, l’instrumentalisation de la question identitaire à des fins de pouvoir. Nous avons appris aussi qu’en concomitance avec cette consécration annoncée, le Haut Commissariat à l’amazighité (HCA), organisme créé dans le sillage de la promotion de la langue et la culture amazighes, s’apprête à se lancer dans une vaste campagne de promotion de ce projet, en réactivant ses relais associatifs, nombreux et actifs en Kabylie. Projet qui sera certainement présenté comme un gage de soutien au chef de l’Etat et à sa politique.
Rabah Aït Ali

Publié par : iferhounene | 23 septembre 2013

Ces fous qui nous gouvernent

Hollande du donnant donnant.boutef fume le the.jpg2012_5$largeimg219_May_2012_082518257.jpgle-premier-ministre-turc-recep-tayyip-erdogan-s-exprime-le-3_1144660.jpgmerkel-cameron_2391203b.jpglion-08.jpg

Hollande a Obama : je te soutiens dans l’affaire syrienne

Obama : et moi je ferme les yeux dans l’affaire algérienne

le peuple algérien : et notre démocratie, l’alternance du pouvoir? pourtant la France est un pays des droits de l’homme!ca n’a pas suffi 1millions cinq cents milles morts!?

hollande : oui, les droits de l’homme européen, on n’a pas dit pour les indigènes
Obama : moi je préfère les islamistes modérés au pouvoir. regardez ces généraux arabes.ils sont tous pareils. ils installent un president, puis juste après, ils le mettent en prison et organisent un simulacre de jugement.

Bouteflika : oui, moi aussi, j’en suis un, d’ailleurs je compte associer TAJ au FLN pour cela pour former l’alliance présidentielle.

Poutine : je vous avertis que ce ne sera pas pas comme l’Irak, la Libye et la Tunisie, encore moins comme la Syrie.

Obama : Attend, mais toi tu es un âne, d’ailleurs demande a Angela Merkl, David Cameroun et le type de la Turquie pour voir ce qu’ils pensent de toi.

Poutine : Toi tu n’es pas d’origine américaine, tu es noir et moi je veux parler aux américains.

Obama : tu oublies que l’Amerique est multicolore, multilingue, culticulture. Alors, noir, blanc, jaune, basané, ou marsien , tu n’as rien compris a l’évolution du monde.

Hollande : nous soutenons Obama, et exigeons que Assad soit pendu le jour de l’Aid musulman. un signe fort de sacrifice, pour le bonheur des arabes.

Bouteflika : écoute Hollande, fais ce qui te plait, nous sommes officiellement derrière vous, mais pour les journalistes, nous dirons que nous sommes opposés a toute intervention étrangère dans le conflit syrien. cela ne veut rien dire, puisque cela peut concerner aussi bien la Russie que les USA ou les chinois. tu connais la tactique de Don Juan. mais n’oublie jamais, nous sommes amis de la France.

Obama : écoute hollande, tu ne fais pas assez, tu dois provoquer Poutine, pour lui faire comprendre que la communauté internationale est acquise aux frappes aériennes. le reste c’est mon affaire.

Poutine : toi Hollande , tu me le payeras cher! d’ailleurs l’Europe ce n’est pas la France, pour nous c’est Angela et CAMERON

Ordogan : la Turquie est européenne. nous avons notre mot a dire. Et puis, nous sommes le porte avions des USA, HA!HA!HA!  ce n’est l’affaire du Dey d’Alger.

Benjamin NETENEYAHU : NON, ce n,est pas la Syrie qui nous préoccupe, mais l’Iran avec sa bombe atomique.

Obama : mais ce que tu es con! l,arme chimique est encore plus destructrice

Netenyahu : une bonne occasion pour en finir avec ces arabes.

Obama : mais l’iran n’est pas arabe. Mais tu es doublement con toi!

Poutine : cette fois, nous allons nous occuper de la France, ensuite le tour de l,Amérique viendra.

Hollande : mais la France est démocratique, et un pays de l’alternance

Bouteflika : ne crois pas a ce qu’on te dit, la France est arabe, du moins elle n’est pas gaullienne. depuis l’arrivée des Sarkozy, la France a changé d’origine. tu oublies que tous les harkis et leurs enfants ainsi que les algériens naturalisés représentent une force politique importante. Alors fais ce que je te dis, le soutien au quatrième mandat, et tu es tranquille pour le restant de ton règne.

Hollande : Bon! qu’est ce qu’on fait maintenant pour la Syrie, j’attends tes instructions Monsieur Obama.

Obama : une fois liquidée la destruction de ces armes chimiques de ce connard d’Assad, on passera a un autre pays.

Hollande : ok!ok!, on peut par exemple avancer vers l’Iran

Obama : l’iran, n’est pas la préoccupation première, on peut régler le problème diplomatiquement.

Hollande : l’Algerie est est stable. de plus elle n’est pas totalement arabe. il y a des berbères, parmi eux les kabyles. c’est différent. le printemps arabe ne concerne donc pas l’Algerie, la France reconnait le droit des minorités.

Obama : ne me rappelle pas la minorité québecoise, s’il te plait, vos les français, vous foutez la merde dans le monde et vous  vous dérobez, mais vous oubliez souvent que les journalistes et historiens ne perdent pas leur temps…ils notent tout.

Bouteflika : Pour nous le problème des journalistes et des écrivains en général est réglé. ils sont libres d’écrire ce qu’ils veulent. nous nous en faisons qu, a notre tête, pas besoin de conseils des ministres pour le faire, d’ailleurs j’ai décidé de supprimer toutes ces rencontres de jacasserie.

Obama : tu ne erds rien pour attendre, toi Bouteflika, je t’ai a l’œil, ton tour et celui de ton remplaçant va arriver. d’ailleurs reste tranquille ou je mets fin a ta convalescence…. ton règne. je n’ai pas oublié  cette affaire de Tiguentourine et du Sahel.

Hollande : Nous sommes d’accord pour frapper la Syrie. pas l’Algerie

Poutine : On n’a pas fini avec la Syrie que vous poser encore un problème avec un autre pays( client).

Hollande : ne te mêle pas de l’Algerie, Poutine! pour le moment, il s’agit des armes chimiques de Assad.

Poutine : je avertis, si vous frappez Assad, moi je bombarde l,Arabie Saoudite.

Obama : Arrête de faire le con Poutine, c’est de la Syrie dont il s’agit et non du roi  d’Arabie. je t’ai deja dit que t’es un âne et tu ne changeras pas!

Bouteflika : Hollande, profite de cette rencontre pour en toucher un mot a Obama sur le quatrième mandat.

Hollande : arrête Bouteflika! ce n’est pas a cette occasion qu’on pose de tels problèmes a des rapaces comme ceux-la. Attends que cela arrive au conseil de sécurité, la tu peux compter sur moi et sur la France.

Bouteflika : gérer c’est prévoir, mais alors quel motif vont ils encore inventer pour nous emmerder encore nous?

Hollande : ne te presses pas, chaque chose en son temps, je réflechirai le moment venu et ferai la proposition idoine. Dans le cas ou tu es jamais ecarté  de ton poste. pour le moment on n’est pas la. alors tranquille!

Bouteflika : ?????

Hollande :????

Obama : ????

Poutine : vous avancez , je vous nique tous!

Cameroun: ??????

Ordogan : alors,cette Union européenne , ca marche?

Neteneyahu : on attaque l’Iran ou non !? bordel!

Obama : zebi! toi tu n’as de yeux que pour les chiites. et les sunnites qui font le bordel partout!?

Neteneyahu : ok, on attaque qui alors?

Poutine : attaque tremtek!

Netenyahu : il est pro arabe ce poutine! il s’exprime comme eux, avec leur cul.

Obama : ta gueule  toi, arrête de nous perturber notre plan!

 

Hollande du donnant donnant.boutef fume le the.jpg2012_5$largeimg219_May_2012_082518257.jpgle-premier-ministre-turc-recep-tayyip-erdogan-s-exprime-le-3_1144660.jpgmerkel-cameron_2391203b.jpglion-08.jpg

Hollande a Obama : je te soutiens dans l’affaire syrienne

Obama : et moi je ferme les yeux dans l’affaire algérienne

le peuple algérien : et notre démocratie, l’alternance du pouvoir? pourtant la France est un pays des droits de l’homme!ca n’a pas suffi 1millions cinq cents milles morts!?

hollande : oui, les droits de l’homme européen, on n’a pas dit pour les indigènes
Obama : moi je préfère les islamistes modérés au pouvoir. regardez ces généraux arabes.ils sont tous pareils. ils installent un president, puis juste après, ils le mettent en prison et organisent un simulacre de jugement.

Bouteflika : oui, moi aussi, j’en suis un, d’ailleurs je compte associer TAJ au FLN pour cela pour former l’alliance présidentielle.

Poutine : je vous avertis que ce ne sera pas pas comme l’Irak, la Libye et la Tunisie, encore moins comme la Syrie.

Obama : Attend, mais toi tu es un âne, d’ailleurs demande a Angela Merkl, David Cameroun et le type de la Turquie pour voir ce qu’ils pensent de toi.

Poutine : Toi tu n’es pas d’origine américaine, tu es noir et moi je veux parler aux américains.

Obama : tu oublies que l’Amerique est multicolore, multilingue, culticulture. Alors, noir, blanc, jaune, basané, ou marsien , tu n’as rien compris a l’évolution du monde.

Hollande : nous soutenons Obama, et exigeons que Assad soit pendu le jour de l’Aid musulman. un signe fort de sacrifice, pour le bonheur des arabes.

Bouteflika : écoute Hollande, fais ce qui te plait, nous sommes officiellement derrière vous, mais pour les journalistes, nous dirons que nous sommes opposés a toute intervention étrangère dans le conflit syrien. cela ne veut rien dire, puisque cela peut concerner aussi bien la Russie que les USA ou les chinois. tu connais la tactique de Don Juan. mais n’oublie jamais, nous sommes amis de la France.

Obama : écoute hollande, tu ne fais pas assez, tu dois provoquer Poutine, pour lui faire comprendre que la communauté internationale est acquise aux frappes aériennes. le reste c’est mon affaire.

Poutine : toi Hollande , tu me le payeras cher! d’ailleurs l’Europe ce n’est pas la France, pour nous c’est Angela et CAMERON

Ordogan : la Turquie est européenne. nous avons notre mot a dire. Et puis, nous sommes le porte avions des USA, HA!HA!HA!  ce n’est l’affaire du Dey d’Alger.

Benjamin NETENEYAHU : NON, ce n,est pas la Syrie qui nous préoccupe, mais l’Iran avec sa bombe atomique.

Obama : mais ce que tu es con! l,arme chimique est encore plus destructrice

Netenyahu : une bonne occasion pour en finir avec ces arabes.

Obama : mais l’iran n’est pas arabe. Mais tu es doublement con toi!

Poutine : cette fois, nous allons nous occuper de la France, ensuite le tour de l,Amérique viendra.

Hollande : mais la France est démocratique, et un pays de l’alternance

Bouteflika : ne crois pas a ce qu’on te dit, la France est arabe, du moins elle n’est pas gaullienne. depuis l’arrivée des Sarkozy, la France a changé d’origine. tu oublies que tous les harkis et leurs enfants ainsi que les algériens naturalisés représentent une force politique importante. Alors fais ce que je te dis, le soutien au quatrième mandat, et tu es tranquille pour le restant de ton règne.

Hollande : Bon! qu’est ce qu’on fait maintenant pour la Syrie, j’attends tes instructions Monsieur Obama.

Obama : une fois liquidée la destruction de ces armes chimiques de ce connard d’Assad, on passera a un autre pays.

Hollande : ok!ok!, on peut par exemple avancer vers l’Iran

Obama : l’iran, n’est pas la préoccupation première, on peut régler le problème diplomatiquement.

Hollande : l’Algerie est est stable. de plus elle n’est pas totalement arabe. il y a des berbères, parmi eux les kabyles. c’est différent. le printemps arabe ne concerne donc pas l’Algerie, la France reconnait le droit des minorités.

Obama : ne me rappelle pas la minorité québecoise, s’il te plait, vos les français, vous foutez la merde dans le monde et vous  vous dérobez, mais vous oubliez souvent que les journalistes et historiens ne perdent pas leur temps…ils notent tout.

Bouteflika : Pour nous le problème des journalistes et des écrivains en général est réglé. ils sont libres d’écrire ce qu’ils veulent. nous nous en faisons qu, a notre tête, pas besoin de conseils des ministres pour le faire, d’ailleurs j’ai décidé de supprimer toutes ces rencontres de jacasserie.

Obama : tu ne erds rien pour attendre, toi Bouteflika, je t’ai a l’œil, ton tour et celui de ton remplaçant va arriver. d’ailleurs reste tranquille ou je mets fin a ta convalescence…. ton règne. je n’ai pas oublié  cette affaire de Tiguentourine et du Sahel.

Hollande : Nous sommes d’accord pour frapper la Syrie. pas l’Algerie

Poutine : On n’a pas fini avec la Syrie que vous poser encore un problème avec un autre pays( client).

Hollande : ne te mêle pas de l’Algerie, Poutine! pour le moment, il s’agit des armes chimiques de Assad.

Poutine : je avertis, si vous frappez Assad, moi je bombarde l,Arabie Saoudite.

Obama : Arrête de faire le con Poutine, c’est de la Syrie dont il s’agit et non du roi  d’Arabie. je t’ai deja dit que t’es un âne et tu ne changeras pas!

Bouteflika : Hollande, profite de cette rencontre pour en toucher un mot a Obama sur le quatrième mandat.

Hollande : arrête Bouteflika! ce n’est pas a cette occasion qu’on pose de tels problèmes a des rapaces comme ceux-la. Attends que cela arrive au conseil de sécurité, la tu peux compter sur moi et sur la France.

Bouteflika : gérer c’est prévoir, mais alors quel motif vont ils encore inventer pour nous emmerder encore nous?

Hollande : ne te presses pas, chaque chose en son temps, je réflechirai le moment venu et ferai la proposition idoine. Dans le cas ou tu es jamais ecarté  de ton poste. pour le moment on n’est pas la. alors tranquille!

Bouteflika : ?????

Hollande :????

Obama : ????

Poutine : vous avancez , je vous nique tous!

Cameroun: ??????

Ordogan : alors,cette Union européenne , ca marche?

Neteneyahu : on attaque l’Iran ou non !? bordel!

Obama : zebi! toi tu n’as de yeux que pour les chiites. et les sunnites qui font le bordel partout!?

Neteneyahu : ok, on attaque qui alors?

Poutine : attaque tremtek!

Netenyahu : il est pro arabe ce poutine! il s’exprime comme eux, avec leur cul.

Obama : ta gueule  toi, arrête de nous perturber notre plan!

 

 

 

 

 

Publié par : iferhounene | 23 septembre 2013

Francois Hollande : un neocolonialiste?

Algerie :le chantage de Francois Hollande

si règlement de la crise en France il y a, pour François Hollande, elle passe nécessairement par l,Algérie. le roi de France en voulant surmonter les difficultés internes du royaume, n,a pas trouvé mieux que de se lancer dans la conquête des autres contrées, et notamment celles de l,Afrique. il pensait trouver les matières premières, les débouchés pour la production de biens et services de la métropole, la main d’œuvre gratuite et les terres gratuites pour ses sujets français et européens. Mais l,affaire ne s,est pas arrêtée la, puisque bien mal acquis ne profite jamais. les révoltes , puis les révolutions qui ont éclaté ont emporté tout sur leur passage, en faisant des victimes innocentes et inconscientes; les pieds noirs, les harkis, et enfants naturels etc…hollande.jpg

la crise du capital , croit trouver ses remèdes  selon les tenants de l,économie coloniale, dans la conquête d,autres pays. Aujourd’hui.hui la forme d occupation a changé, depuis l,avènement du néo-colonialisme,

 et c,est a ce jeu que Sarkozy s,est livré avec la Libye, la Tunisie et le Mali. François Hollande prend le relais, et croit surmonter les difficultés de l,économie française en raflant des contrats commerciaux avec l,Algérie, en contrepartie d,un soutien inconditionnel, , mais discret au maintien du système politique algérien rétrograde, avilissant, exploiteur, a la limite monarchique.

le changement en Algérie ne peut venir que de l,ex métropole, car le soutien apporté par Hollande au régime antisocial, régionaliste, rentier algérien va jusqu,au niveau des instances internationales dont l,ONU et le conseil de sécurité , au détriment de la construction démocratique en Algerie. Pour l’heure le problème de la démocratisation en Algerie n,est pas pose a ce niveau car la revendication sociale et politique n,a pas été portée encore dans la rue comme cela s.est produit en Égypte, en Tunisie, en Syrie, au Mali, en Libye… Mais l’explosion est proche et rien ne pourra la contenir. C’est a ce moment que l,intervention des américains sera declenchee, comme cela se passe actuellement en Syrie, sous pretexte d,armes chimiques. l,Algerie aura bien sur son pretexte et ce n,est des arguments qui manquent : arme nucleaire, integrisme, probleme des minorites amazighs, communautes du Sud, etc…

Idem sans doute pour les USA, qui ont besoin du soutien de la France dans l,affaire de la Syrie. c,est du donnant donnant. car la France s,attend a une révolte incontrôlable, incontestable en Algérie qui mettrait en danger tous les intérêts français,a ce moment le soutien ouvert de Hollande au régime d,Alger sera plus déclaré, plus ouvert. la France se prépare  a apporter l,aide et le soutien militaire et sécuritaire au régime d,Alger contre toute tentative de normalisation de la vie socio.economico-politique en Algerie qui remettrait en cause le favoritisme dont jouit la France en Algerie dans le domaine des relations commerciales.1809393_3_9c7a_abdelaziz-bouteflika-et-francois-hollande-a_e083df3c9812a4aa589256055ef908ab.jpg

la soutien de Hollande a Obama dans l,affaire de la Syrie est a chercher dans la peur du président francisa de perdre ses atouts  qui sont dépendants des contrats juteux passes avec l,Algerie. autant dire que la France cherche a garder l,Algerie a la France ,pour tous ce qui a trait aux relations commerciales privilégiées, une source de recettes sures qui vient a point nommé pour le socialiste « Mitterandien ».

 un changement de président en Algerie va forcement induire un changement dans les relations algero française dans le sens d,une plus grande autonomie des décideurs algériens vis a vis de Paris.

pendant que la France règle ses problèmes de débouchés pour ses produits industriels et agricoles sur le dos du peuple Algérien, le régime algérien se durcit et s,achemine vers une monarchisation.

en effet la destruction des structures de l,état n,ont d,autre objectif de de faire remplacer les institutions du pays par une seule et unique autorité, le président de la république ou son clan

 le danger qui guette l,Algérie va entrainer des bouleversements en métropole et le président hollande en serait rendu responsable devant les peuples te devant Dieu.

 

Publié par : iferhounene | 21 septembre 2013

Khaled Nezzar responsable!

Algerie :les janissaires s’emparent des richesses du pays et de son peuple. Demandons l’intervention de l’ONU

Bouteflika, le DRS et la « tribalisation » du pouvoir, le RCD implacable

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Par Le Matin | Il y a 53 minutes | 336 lecture(s) | Réactions (0)
 

Dans une déclaration devant le conseil national, Mohsine Bellabas, président du Rassemblement pour la culture et la démocratie dresse un tableau sans concession du régime en place.

Mohsine Bellabas, président du RCD. Mohsine Bellabas, président du RCD.

En liminaire, Bellabas plante le triste décor dans lequel se débat l’Algérie. Puis enbraye sur la tribalisation de l’Etat. « L’Algérie, Etat, Nation et Société, est maintenant en péril, souligne le président du RCD. La faillite structurelle de l’Etat se dévoile dans des comportements tribaux grotesques, voraces et opaques depuis une année, autant de réactions qui déshonorent la nation, insultent le sacrifice de notre peuple et hypothèquent l’avenir du pays. »2929915-hollande-rend-hommage-a-mitterrand-disparu-il-y-a-seize-ans.jpg

Comme pour filer la déclaration avec l’actualité des derniers jours, Mohsine Bellabas rappelle que son parti avait proposé « il y a dix mois », « la dissolution de la police politique, la destitution du chef de l’Etat en vertu de l’article 88 de la constitution et la restitution du sigle FLN au peuple. Trois acteurs responsables de l’effondrement institutionnel actuel de par l’exclusion de la volonté populaire des centres de décision depuis l’indépendance ».105585.jpg

Le rassemblement pour la culture et la démocratie constate que « le dernier remaniement ministériel, loin de refléter une prise de conscience chez les décideurs sur les dangers qui guettent le pays, consacrent l’institutionnalisation de la médiocrité et du pillage, confirmant qu’il est vain d’attendre qu’une solution vienne de l’intérieur d’un régime liberticide ».images.jpg

Pire, les dernières décisions de Bouteflika visant le DRS « ne concernent pas la nature du pouvoir ou les solutions à préconiser en faveur d’une sortie de crise ». Le RCD ne se fait pas d’illusions car « sur le fond, il y a consensus. Ils sont d’accord contre l’indépendance de la justice, la transparence, la liberté, la presse, le citoyen. Ils sont d’accord pour l’opacité, les fraudes, l’arbitraire et la censure. » 1353694441.jpg

Ainsi donc, le président du RCD certifie que « les dernières mesures prises pour neutraliser l’omnipotence du DRS – diluant la concentration de capacités décisionnelles confisquées par une officine occulte, hégémonique et inaccessible à tout contrôle – auraient pu, dans l’absolu, constituer une opération annonçant la construction d’un Etat de droit s’il n’y avait, en même temps, une offensive mettant le pays sous la botte d’une secte. Ce démembrement est rattrapé par une colonisation tribale du gouvernement, ce qui le vide de toute prétention républicaine.

Mais il est vrai que si le pays a été livré aussi facilement à une meute sans foi ni loi, c’est qu’un travail de sape, mobilisant moyens et énergies de l’Etat, a été mené depuis des dizaines d’années par ce pouvoir occulte pour contenir, réduire et au besoin anéantir tout effort, toute initiative, toute proposition visant à redonner à l’Algérien la maitrise de son destin. »larbi-belkheir.jpg

Rappel important pour toute nation démocratique. Bellabas souligne quelques évidences politiques : «Aucun pays ne s’est développé avec une police politique qui est la réalité du pouvoir. Aucun pays ne s’est développé par la confiscation tribale de l’Etat». 

Puis, le président du RCD annonce : «A l‘évidence, l’Algérie, confisquée par une secte n’en prend pas le chemin.» Et assène encore : «Il faut insister là-dessus ; le changement opéré au sein du gouvernement consacre une tribalisation plus caricaturale que jamais du pouvoir en vue d’assurer l’impunité pour les auteurs d’un détournement industriel des richesses nationales ; la négation ouverte du droit étant définitivement assurée par les mutations intervenues sur les instances susceptibles d’instruire les dossiers les plus sensibles.»

La déclaration est une charge sans concession pour le clan au pouvoir depuis 13 ans à El Mouradia. Le RCD ne laisse rien passer à Bouteflika et ses chantres. 

« Pour que la secte survive et se reproduise, tout est bon. Eradication tribale des commis de l’Etat mal nés, confiscation du Trésor, bradage de la souveraineté, distorsion régionale dans le développement national… Il n’y a ni responsabilité, ni scrupule ni retenue. La conquête du pays doit être complète et sa soumission totale. Aucune limite morale, politique ou organisationnelle ne doit être mise à ce funeste objectif. Les provocations, d’ailleurs prévisibles, actionnant encore le salafisme depuis le mois de juillet en Kabylie, donnent la mesure de la détermination de clans irresponsables. »

« La nation n’existe plus »

Le RCD constate que « La nation n’existe plus. La culture et l’organisation maffieuse sont revendiquées. Ce n’est ni la conviction idéologique ni le parcours politique ni la crédibilité sociale qui détermine le recrutement ou la promotion des membres du gouvernement ; non, désormais une règle jusque-là honteusement pratiquée s’affiche comme une norme de droit : il faut être bien né et/ou corrompu pour être coopté dans le gouvernement et associé à la dilapidation de la ressource nationale ».

Le parti d’opposant revient sur les partis clients du pouvoir et conseille : « Ceux qui disculpaient Bouteflika de ses responsabilités devant la catastrophe nationale devront changer de registre. » Incontournable sujet : les élections présidentielles d’avril 2014. Le RCD pose ses conditions comme celle de retirer l’organisation du scrutin au ministère de l’Intérieur. 

Pour le RCD, les dernières décisions de limogeage de quelques pontes du DRS constituent « un démembrement » qui a « provoqué une réaction de panique chez ceux qui ont conçu et vécu leur action politique comme l’exécution d’une tâche ordonnée, attendue ou autorisée par les pouvoirs occultes. Ces orphelins du pouvoir de l’ombre cherchent déjà d’autres tuteurs, conditionnés qu’ils sont à n’exister qu’en tant que pupilles d’un système, incapables de voir au-delà d’un périmètre culturel et idéologique où ils ont été confinés et conditionnés ».

Yacine K.

Publié par : iferhounene | 21 septembre 2013

le livre qui a fait le tour du monde est venu de Kabylie

 

le livre a conserver dans sa bibliotheque familiale : Vous etes peut etre concernés directement par « Zahra, la legende du Djurdjura » édite par Amazon.fr

 
BookCoverImageorange.jpgsi vous êtes Benachenhou, si vous etes Sarkozy, si vous êtes Said Sadi, si vous etes Djoudi , si vous etes Khalida Messaoudi, si vous etes Benjamin Stora, si vous êtes Michel Rocard, si vous etes Albert Grill, si vous Rene Rouby, si vous êtes Mekacher, si vous êtes le ministre des anciens moudjahidines de l,Algérie indépendante, si vous etes historien, si vous etes etudiants, si vous etes des services secrets algeriens, si vous etes de la ligue internationale des droits de l,homme, si vous etes de Amnesty International , si vous etes victimes de la guerre, si vous etes un harki ou fils de harkis de la région de la haute kabylie, si vous êtes un industriel algérien , si vous êtes un dg d,une entreprise publique, si vous êtes une femme algérienne , française ou canadienne, si vous etes villageois jamais sortis de votre bled, si vous êtes directeur de journal privé algerien, si vous etes un cadre de l,ORLAC, si vous êtes un ami de Si Hadj Mohand Abdenour ou meme si vous ne le connaissiez que très vaguement… alors vous etes concernés Par le livre « ZAHRA LA LEGENDE DU DJURDJURA  » édité par Amazon.com et Amazon.fr et Amazon.ca et Amazon.it et Amazon.es
Publié par : iferhounene | 12 septembre 2013

AMNESTY INTERNATIONAL ALGERIE : informations

AMNESTY INTERNATIONAL ALGERIE : informations

http://iferhounen.blogs.nouvelobs.com/archive/2013/09/13/temp-91b80d1b6f7f390debfdd5fe6ad37e5b-492721.html

Publié par : iferhounene | 15 août 2013

Ksentini : le defenseur des causes injustes et perdues d,avance

 

Actualité Jeudi, 15 Août 2013 09:50 Facebook Imprimer Envoyer Réagir

Il considère que l’ex-ministre est inculpé sur la base de rumeurs

Ksentini au secours de Khelil

Par : Rédaction Nationale

Considérant que l’ancien ministre de l’Énergie est condamné sur la base de rumeurs, il en appelle au respect de la présomption d’innocence et des règles de procédure pénale.

Après la sortie médiatique du procureur général d’Alger, qui avait annoncé lundi des mandats d’arrêt internationaux notamment contre Chakib Khelil et sa famille, c’est une véritable contre-offensive qui est orchestrée. D’abord par le concerné lui-même qui plaide non-coupable, dans des entretiens publiés hier dans des journaux arabophones. Puis, surprise, par le président de la Commission consultative des droits de l’Homme, Me Farouk Ksentini, qui bat en brèche les déclarations du PG d’Alger, dans un communiqué envoyé à l’APS.
La présomption d’innocence est “un principe constitutionnel du bénéfice et la protection duquel personne ne peut être privé”, a-t-il rappelé. “L’État de droit ne s’accommode nullement du lynchage médiatique et la présomption d’innocence est un principe constitutionnel du bénéfice et la protection duquel personne ne peut être privé”, a souligné M. Ksentini. “L’honneur de notre pays est celui d’être et de se comporter comme un État de droit et même plus comme une société de droit dont la caractéristique essentielle se ramène au respect de l’individu quels que soient l’enjeu et les circonstances”, a-t-il estimé. “Mais il sera observé qu’aujourd’hui à l ‘occasion de ce qu’il est convenu d’appeler l’affaire Sonatrach 2, un ancien ministre est médiatiquement malmené avant même que cette personne n’ait été entendue dans ses explications quant aux faits qui lui sont imputés et avant qu’elle n’ait été confrontée à ses accusateurs”, a ajouté le président de la CNCPPDH.
Il a considéré que l’image de la justice algérienne devant être transmise est celle d’une “institution sereine”, “scrupuleusement respectueuse” de la présomption d’innocence, des règles de la procédure pénale qui commandent en l’occurrence la transmission du dossier à la Cour suprême “en vertu du privilège de juridiction institué par la loi elle-même”.  “Nous devons refuser les condamnations hâtives fondées sur la rumeur persistante et parfois sur la malveillance”, a conclu M. Ksentini.
Un mandat d’arrêt international a été lancé contre l’ancien ministre de l’Énergie et des Mines et contre huit autres personnes dans cette affaire, dont sa femme, ses deux fils et Farid Bedjaoui, avait annoncé lundi le procureur près la cour d’Alger, Belkacem Zeghmati, lors d’une conférence de presse. Les mandats d’arrêt lancés à l’encontre des neuf mis en cause ont pris effet depuis deux semaines, avait précisé M. Zeghmati. Chakib Khelil avait assuré, rappelle-t-on, la présidence du groupe pétrolier algérien Sonatrach, alors que le nommé Farid Bedjaoui est présenté par la presse algérienne et italienne comme ayant servi d’intermédiaire dans le versement de commissions pour l’obtention de contrats pétroliers en Algérie au profit du groupe italien Saipem.
En Italie, la justice locale a déjà lancé un mandat d’arrêt international contre Farid Bedjaoui, poursuivi dans la même affaire, qui concerne dans la péninsule italienne le groupe Saipem, accusé d’avoir versé des pots-de-vin entre 2007 et 2009 pour l’obtention de sept contrats en Algérie d’une valeur globale de 8 milliards d’euros, selon la presse italienne. Les montants des pots-de-vin sont estimés, selon la procédure judiciaire italienne, à 197 millions de dollars, et versés en commissions à la Pearl Parteners Limited, domiciliée à Hong Kong et propriété de Farid Bedjaoui, selon les comptes rendus de la presse italienne.

R. N./APS

5 août 2013 15:12

Dahou Ould Kablia confirme son instruction aux services d’état civil des communes d’inscrire les nouveau-nés avec des prénoms amazighs

Lilia Oufella

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Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Dahou Ould Kablia, a répété ce jeudi 15 août à Jijel, qu’une instruction avait été donnée aux services d’état civil des communes pour inscrire les nouveau-nés avec des prénoms amazighs quand les parents le souhaitent.

« Nous avons envoyé une instruction aux services d’état civil pour accepter la demande des parents désirant donner à leurs nouveau-nés des prénoms amazighs conformément à la liste établie à cet effet », a déclaré à l’APS M. Ould Kablia en marge de la visite du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, dans cette wilaya.

Il a précisé que son département ministériel avait établi une liste contenant 300 prénoms amazighs qui « sera prochainement publiée au Journal officiel ». Le ministre a, par ailleurs, relevé deux cas de refus d’inscrire des nouveau-nés avec des prénoms amazighs au niveau de deux Assemblées populaires communales (APC), situées respectivement à Oran et Batna, mais qui ont été « rapidement traités et réglés », a-t-il affirmé.

Samedi dernier, l’APC d’Arris à Batna a refusé d’inscrire un nouveau-né sous le prénom de Gaïa, a dénoncé Me Koceïla Zerguine de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (Laddh). «L’officier de l’état civil leur a indiqué qu’il ne pouvait pas donner un prénom qui n’a aucun sens », a-t-il expliqué.

Le 24 juillet dernier, M. Ould Kablia avait déclaré à Tindouf que « 300 noms en Tamazight seront désormais écrits en langue arabe ».

Publié par : iferhounene | 15 août 2013

Algerie : les gouvernements de Mickey

 

ALGERIE : des régimes de vieilles sorcieres

un regime de de vieilles sorciéres. c’est le moins que l’on puisse penser de la gouvernance en Algerie.

 Boumediene  sous le pretexte de nationalisme, d’arabisme, et d’islam aux couleurs marxistes, a tué  la fine fleur de la révolution algerienne, apres avoir pris le pouvoir militaire sans partage.bouteflika_1ernov1_888419315.jpg

 Chadli, ne veut recevoir de lecons de personne selon himself, et pourtant il a liquidé l’économie du pays, il a mis le pays a feu et a sang, il cherchait a la derniere minute a co-habiter avec le FIS des lors qu’il s.agissait pour lui de sauver sa tete, et garder le pouvoir a tout prix

 les autres… kaffi, zeroual se croyant les élus du peuple, intelligeants et nationalistes revolutionnaires, ont continué a saigner le pays et le peuple. aujourd’hui des voix s’élévent pour nous dire que zeroual, un general maison, limité, est tout indiqué pour sortir le pays de la crise! quelle débilité qui frappe les habitants de ce pays! c’est pourtant durant son régne sans partage que des dépassements et des hogra, des vols et des détournements se sont multipliés.

les anciens militaires retraités avaient envahi les administrations pour occuper des postes clefs.

Bouteflika a débarqué grace a la bénédiction des généraux , dont certains sont deja partis , pour ne plus revenir, mais dont le venin continue de circuler dans le sang de l’Algerie. vous savez a qui je pense, et sans médisance aucune.images.jpg

 Bouteflika, a cherché a opérer un coup d’Etat  par l’argent sale et le pouvoir absolu. Mettre la main sur les richesses du pays, placer ses hommes , pour installer un pouvoir absolu qui lui permettra d’instaurer un sultanat, c’est les propos de Khaled Nezzar, mais alors que fait l’armée, est-elle juste la pour empécher les hommes honnétes et les intellectels d’améliorer leur vie?

 un blocage systématique et systémique est opéré sur les carriéres , méme libérales des hommes bien pensants pour les empécher d’évoluer ou d’apporter leurs contrinbutions au developpement du pays.

l’impasse est inévitable, la guerre civile est proche!

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Publié par : iferhounene | 5 août 2013

Francais, faites votre révolution, nous sommes avec vous !

21 avril 2012

France: la vérité n’est pour les electeurs

Abdenour officiel.JPGFrançais!françaises! la France vous appartient! Longtemps votre patrie a été soumise au diktat du plus fort! du plus riche!Longtemps, français et français des guerres vous ont été imposées contre de pauvres peuples pour servir de diversion! Longtemps, jeunes français, vous avez été envoyés pour défendre des causes qui n’en étaient pas, ou perdues d’avance. Pourquoi? les tenants du pouvoir en France sont des riches, alors la crise du capitalisme mondial ( France-Angleterre, Italie etc.. ) a poussé les détenteurs du pouvoir à chercher des débouchés pour les industries européennes, des postes de travail aux européennes qui n’ont pas leur place au soleil,au paradis  métropolitain, aux soldats appelés qui ne peuvent pas refuser de tuer et de se faire tuer pour les autres, les bourgeois. Beaucoup ne reviendront jamais comme le lieutenant Capelle , ou l’adjudant Cuvillier ou encore l’adjudant Arpin plusieurs fois décorés et d’autres comme le lieutenant François d’Orléans.On leur a fait miroiter l’Algérie pour aller passer “des vacances”.tout cela pour sauver le capitalisme égoïste, insatiable. les conditions de vie ne se sont pas pour autant améliorées pour le français lambda en 2012. la France détient l’arme atomique mais ce n’est pas une sécurité pour le français lambda. un risque supplémentaire. car au lieu de défendre le peuple français contre une invasion quelconque , c’est intra muros que le risque est grand.l’exemple du japon et de l’Ukraine est édifiant à plus d’un titre. Aujourd’hui, français et françaises, vous devez savoir que la France traîne à ses pieds un boulet : les harkis. les pieds noirs originaires des autres pays européens, contrairement au Français d’origine. Aujourd’hui Sarkozy fait l’apologie du colonialisme, félicite les harkis, comme si cela est bénéfique pour le français moyen. il ne s’agit en fait que des dégâts collatéraux de la guerre injuste imposée aux peuples faibles et pauvres, des conséquences néfastes du colonialisme auxquelles il faut ajouter des milliers de viols et de traumatismes.

 Français! Françaises! pour vivre heureux, car le français lambda est malheureux, stressé, marginalisé, méprisé et agressé au karcher présidentiel, le systéme politique doit changer radicalement. la révolution française a été déviée de sa trajectoire grâce aux réactionnaires et néocolonialistes. le cheminement normal de l’histoire de la société française a été détournée de ses objectifs. le colmatage du capitalisme ne fait que reporter l’echéance inéxorable de la grande révolution française. aujourd’hui, les français doivent choisir le dirigeant qui réponde à ses aspirations profondes. français! françaises! votez pour l’homme du changement. l’homme qui bouleversera l’ordre établi, l’ordre qui opprime et qui réprime. Sarkozy doit être “dégagé”  et remplacé par un homme qui est tout près du citoyen, c’est cela la véritable démocratie.Français! Français, comme en 1789, comme en 14 et 18, comme toujours , tu ne dois pas craindre le changement!mais tu dois faire confiance à celui qui opérera ce changement qui a été différé à plusieurs reprises dans l’histoire. Pour le bien des français et de leurs voisins, algériens, tunisiens, marocains, libyéens.C’est à ce prix et à ce prix seulement que la France effacera son portrait hideux historique colonialiste. Pas besoin de repentance.

le livre de Abdenour Si Hadj Mohand disponible a la libraire generale d,El Biar

http://iferhounen.blogs.nouvelobs.com/archive/2013/07/23/vous-pouvez-trouver-le-livre-de-abdenour-si-hadj-mohand-a-la.html#.Ue6rcpKC30A.facebook

Publié par : iferhounene | 18 juillet 2013

Francois Hollande sur la voie de Francois Mitterand

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